Indochine – Un été français (clip)

MON AVIS : Ca y est, le clip d’un été français est sorti ! J’avais déjà prévenu de sa sortie sur la page Facebook du blog avec le making of du clip qui au final montre très bien ce qu’il va s’y dérouler. Ce clip me rappelle un peu une époque où tous les clips montraient les musiciens en train de jouer – avant que Queen B et Lady Gaga ne se mettent à raconter des histoires à travers leurs clips. Bon, c’est peut-être pas les premières à l’avoir fait mais on s’en fout parce qu’avant ça, je regardais pas les clips. Bref, on est là pour Indochine. Tout le long du clip, on voit l’immensité de la Défense et la scène surréaliste avec des fumigènes, des « fireworks » qui ont dû faire flipper les Parisiens qui se trouvaient dans le coin et qui comprenaient pas trop ce qui leur arrivait. Le visuel est magnifique et les gros plans sur les visages sont sublimes. En gros, c’est un peu le résumé de ce que je ressens dans le ventre quand j’écoute cette chanson que je me mets à aimer de plus en plus. D’ailleurs, pour tout vous dire, mon avis sur l’album entre la sortie en Septembre et aujourd’hui n’est plus vraiment le même. Autant j’ai eu besoin de m’habituer au fait que c’était plutôt long et instrumental, autant maintenant, j’ai vraiment les chansons dans la peau – et l’ensemble de l’album (je ne parle pas des bonus). Bref, cette chanson, ce clip tout me met d’une humeur joyeuse, rêveuse et me fait vraiment envie d’être en avril pour enfin les voir en vrai. Je terminerais juste en disant que c’est bien d’avoir tourné le clip avec un Nicola Sirkis en brun parce que c’est comme ça qu’on le connait. Le blond adopté pour la tournée est « choquant » au premier regard – comme tout changement aussi fort. C’est d’ailleurs énorme qu’il ait réussi à garder le secret et faire découvrir sa nouvelle teinte de cheveux qu’au premier concert. Je regrette un peu de ne pas l’avoir découvert directement lors de mon concert – foutus réseaux sociaux – mais d’un autre côté ça m’a permis de m’habituer.

UN ETE FRANCAIS  (le clip) : ♥♥♥♥

Petit lien vers un blog qui parle des clips d’Indochine : http://indo-clips.over-blog.com/

Ice cream & châtiments

Image associée

Résumé : Elvis Cadillac et sa chienne Priscilla sont de retour, et ils vont encore se retrouver impliqués dans une histoire sordide. Alors qu’il va donner dans quelques jours un concert dans une maison de retraite, le fan du King percute un vieux en tenue d’Adam qui s’avère être une ancienne gloire du petit écran. Mais Elvis n’est pas au bout de ses surprises, surtout quand sa route croise celle de Mémé Cornemuse, une vieille aussi déjantée que nymphomane.

Mon avis : C’est définitif, le style Nadine Monfils, ce n’est pas ma came. J’ai emprunté ce livre à la bibliothèque en même temps que le premier, raison pour laquelle je me suis infligée cette suite malgré mon avis sur « Elvis Cadillac, King from Charleroi ». Ce roman m’a paru encore plus vulgaire que l’autre, je ne pensais pas que c’était possible. Il y a un semblant d’intrigue qui n’est pas inintéressante, mais c’est tellement noyé sous une couche de langage ordurier et incarné par des personnages too much et obsédés que je vais forcément en garder un souvenir négatif. Dans mon esprit, ces deux bouquins seront catalogués comme grossiers à outrance sans être drôles ou palpitants.

Note : Ø

Tarzan

Tarzan : Affiche
Date de sortie 6 juillet 2016 (1h 50min)
Nationalité américain
Synopsis et détails
Une relecture du mythe Tarzan.
Après avoir grandi dans la jungle africaine, Tarzan a renoué avec ses origines aristocratiques, répondant désormais au nom de John Clayton, Lord Greystoke. Il mène une vie paisible auprès de son épouse Jane jusqu’au jour où il est convié au Congo en tant qu’émissaire du Commerce. Mais il est loin de se douter du piège qui l’attend. Car le redoutable belge Leon Rom est bien décidé à l’utiliser pour assouvir sa soif de vengeance et sa cupidité…
MON AVIS : Après avoir redécouvert le Livre de la Jungle, j’ai eu envie de me refamiliariser avec l’histoire de Tarzan. Au moment de vous écrire, je vous avoue que je ne sais toujours pas quoi dire ! J’ai mis vraiment très longtemps à entrer dans l’histoire. J’ai détesté les sauts entre le présent et le passé. C’était assez décousu, peu d’explications réelles. Aucune émotion au cours du visionnage du film. J’ai pourtant aimé le visuel, c’était assez impressionnant. Contrairement à beaucoup de spectateurs, je n’ai rien contre les acteurs. Je suis même plutôt contente du rôle de Caroline Receveur – euh non, Margot Robbie pardon. Mais même si c’était pas non plus un calvaire et que ça se regarde clairement, j’ai eu du mal. Parce que je comprends pas que les singes se liguent contre Tarzan alors que les lions eux font des câlins en mode mon chat qui fout des coups de tête. Et aussi, il y a beaucoup de passages qui sont un peu lourds à suivre pour moi. Après, même si j’aime bien Christophe Walzt, son rôle est vu, vu et revu. Après, c’est un Tarzan remis au goût du jour avec des effets spéciaux pas possibles. Enfin, moi j’ai eu du mal mais c’est pas l’avis de mon homme qui a apprécié. A vous de voir si vous voulez tenter l’expérience.
TARZAN : ♥♥

Cinquante Nuances plus claires

Cinquante Nuances plus claires : Affiche
Date de sortie 7 février 2018 (1h 46min)
Genres ErotiqueDrameRomance
Nationalité Américain

SYNOPSIS ET DÉTAILS

Pensant avoir laissé derrière eux les ombres du passé, les jeunes mariés Christian et Ana profitent pleinement de leur relation tortueuse et partagent une vie de luxe. Mais alors qu’Anastasia commence tout juste à s’adapter à son nouveau rôle de Madame Grey et que Christian s’ouvre finalement à elle, de nouvelles menaces viennent mettre en péril leur vie commune avant même qu’elle n’ait débutée.
MON AVIS : Le RDV était pris pour cette année et encore une fois, nous avons choisi d’y aller à la séance de 15h pour éviter la foule. Plusieurs cinémas proposent d’ailleurs des soirées spéciales lors de la St Valentin avec diverses animations. Comme généralement pour toutes les sagas, le dernier est le meilleur. Toujours plus sombre, plus adulte que les précédents. Cette fois-ci nos deux héros sont mariés et vivent une vie de rêve. Le tout début du film me fait sentir nostalgique de l’été, des vacances, du Sud de la France. Encore une fois, lorsque j’ai parlé que j’allais voir ce film, on m’a pris pour une perverse sexuelle. Rappelez-vous juste que pour le premier, on m’a prêté le DVD car au final, vu le buzz du film, je me devais de le voir pour me faire ma propre idée… mais après, c’est devenu plus : une excuse pour sortir entre filles et je me suis clairement attachée au reste de l’histoire. C’est l’histoire d’un couple qui se marie, qui part en voyage de noces, qui a la chance d’avoir tout ce qu’ils veulent parce qu’ils ont des moyens financiers… et qui certes, en plus de ça, sont épanouis sexuellement parlant. Une autre intrigue entre également en jeu dans ce volet qui rend le film un peu plus que « du sexe ». J’en sors en me disant que moi aussi j’ai un homme que j’aime et qu’il faut se rappeler de prendre soin l’un de l’autre. La BO du film est encore une fois sublime, les décors également. Une « comédie romantique » vraiment sympa – malgré le fait qu’elle soit sponsorisée par ces *** d’Audi. Bref, au revoir Jamie Dornan. A la prochaine 🙂
CINQUANTE NUANCES PLUS CLAIRES : ♥♥♥♥

Le premier miracle

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Quatrième de couverture : Karen Holt est agent d’un service de renseignement très particulier.
Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est.
Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets historiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu.
Lorsque le vénérable historien qui aidait Karen à traquer les voleurs hors norme meurt dans d’étranges circonstances, elle n’a pas d’autre choix que de recruter Ben, quitte à l’obliger.
Ce qu’ils vont vivre va les bouleverser.
Ce qu’ils vont découvrir va les fasciner.
Ce qu’ils vont affronter peut facilement les détruire…

MON AVIS : Après avoir lu deux livres de Gilles Legardinier et les avoir adoré, il est rentré (comme Michel Bussi) dans les auteurs que j’ai envie de suivre. On est très très loin des histoires « habituelles » de Gilles Legardinier, en tout cas, celles que j’ai lu jusqu’à présent (Complètement cramé et Ca peut pas rater). Mais ça me conforte une nouvelle fois dans mon idée que dans les premières pages du livre, je sais si je vais aimer ou non. J’ai eu l’impression de lire du Dan Brown (que j’adore comme vous le savez). C’était frais, rempli d’humour, avec des personnages géniaux et en même temps, avec une intrigue incroyable magnifiquement écrite (malgré quelques passages de description un peu longs pour moi). Le problème c’est que je ne peux pas en dire plus car je ne veux rien révéler. Je veux laisser chacun découvrir avec un oeil neuf le travail réalisé. En tout cas, ça me donne juste envie de continuer à lire ses histoires. Je le félicite vraiment pour sa prise de risque, pour avoir tenter de nous livrer un roman différent – et aussi d’avoir changé d’éditeur. Par contre, seul bémol, il nous offre sur son site un moyen de prolonger l’histoire en demandant un mot de passe que l’on peut trouver dans son livre. Seul problème : j’ai pas franchement le temps de me retaper le roman et surtout j’ai aucune mémoire… J’attendrais donc que Clow ou l’un de vous tombe sur ce fameux mot de passe.

LE PREMIER MIRACLE : ♥♥♥♥

The Vampire Diaries

De quoi ça parle ? A Mystic Falls, petite ville de Virginie, Elena Gilbert, 17 ans, et son petit frère Jeremy retournent au lycée après un douloureux été au cours duquel leurs parents ont trouvé la mort dans un terrible accident de voiture. Malgré sa profonde tristesse, Elena remarque immédiatement les intrigants frères Salvatore, Stefan et Damon. La jeune fille a un étrange pressentiment les concernant et alors qu’elle se rapproche de Stefan, ce dernier confirme ses soupçons : ils sont tous deux des vampires. Si Stefan se contente de voler des poches de sang à l’hôpital pour se nourrir, Damon semble n’avoir aucun scrupule à se servir directement au cou de ses victimes. Mais malheureusement pour elle, Elena ressemble trait pour trait à la jeune femme dont les deux frères étaient follement amoureux il y a plus d’un siècle et à cause de qui ils sont devenus des vampires. Elle va donc être amenée à côtoyer de près les Salvatore, dans les bons comme les mauvais moments…

Mon avis : Cela me fait bizarre de résumer une série dont les dernières saisons n’ont rien à voir avec les premières. En fait, ce qui est écrit juste au-dessus ne correspond vraiment qu’au tout début de « Vampire Diaries » mais pour ne pas spoiler, pas trop le choix… J’ai volontairement choisi d’attendre d’avoir vu tous les épisodes avant d’écrire sur la série, et aussi d’attendre que tous les épisodes soient disponibles avant de commencer à regarder la série, afin de pouvoir enchaîner les huit saisons sans avoir à attendre des mois voire des années pour avoir la suite. Cela m’a pris un peu plus de six mois, mais ça y est. Eh bien figurez-vous que même en procédant ainsi, on n’est pas à l’abri d’avoir partiellement oublié certains éléments de l’histoire qui ont eu lieu trois ou quatre saisons plus tôt. Bref, revenons-en à la série en elle-même. J’ai trouvé les premiers épisodes de la saison 1 assez mous, je n’avais pas accroché plus que ça. Et puis ensuite l’action arrive, plein de choses s’enchaînent, j’ai commencé à vraiment apprécier. J’ai bien aimé les références à d’autres vampires de fiction, ainsi que le fait que des personnages loin d’être anecdotiques puissent mourir malgré leur rôle et leur importance. La série réussit au fil des épisodes à étoffer certains protagonistes, qui passent du statut d’éléments du décor à héros de premier plan. Quant aux méchants, ils ont une vrai dimension diabolique et impitoyable. Mais le problème, comme dans beaucoup de séries au final, c’est que tout cela n’est vraiment valable que pour, disons, les trois premières saisons. Après, les choses se gâtent. Sans trop entrer dans les détails, on est de moins en moins ému ou choqué par la mort des personnages parce qu’une bonne partie d’entre eux finit par trouver un moyen de la contourner alors que c’était soi-disant impossible. De même, une fois un méchant vaincu, pour que l’intrigue continue d’exister, il en faut un nouveau, qui doit être encore pire que le précédent. Sauf qu’à force de vouloir rendre le nouvel ennemi plus puissant et terrifiant que celui d’avant, on tombe dans le ridicule. Quant au concept de journal intime, qui donne tout de même son nom à la série, il n’intervient qu’une fois de temps en temps. Les scènes violentes ou sanglantes ne sont pas rares, même si on est loin d’un show gore. Encore une fois, sans trop en dire, les deux dernières saisons sont sensiblement différentes des autres à cause d’un élément particulier que je n’ai pas vu venir. Mais au final, on se retrouve quand même dans une situation assez fréquente dans l’univers des séries pour ados/jeunes adultes : la fin traîne en longueur, on perd en fraîcheur et originalité, mais on continue à regarder pour connaître le fin mot de l’histoire, par habitude et parce qu’on s’est attaché aux personnages. Je terminerai d’ailleurs sur ces derniers. Très clairement, Damon est celui qui crève l’écran et a les meilleurs répliques, et on adore le détester. C’est un peu un Chuck Bass version vampire. Il y a plusieurs autres personnages que j’ai beaucoup appréciés, pas forcément immédiatement mais j’ai bien aimé les voir évoluer. J’ai réussi à être surprise par le dernier épisode, même s’il peut laisser un petit goût amer, car tous les héros ont au moins un être cher qui les a quittés. Cette série reste un joli petit « guilty pleasure », elle possède un certain nombre d’épisodes et de moments que j’ai vraiment appréciés. J’ajoute qu’un spin-off existe, intitulé « The Originals », il se concentre sur l’un des antagonistes de « Vampire Diaries ». Je ne sais pas encore si je tenterai de le regarder.

Note : ♥♥♥

Elvis Cadillac, King from Charleroi

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Résumé : La vie d’Elvis Cadillac tourne autour de sa passion pour le King, qui est même sa source de revenu puisqu’il donne, sous les traits de son idole, des spectacles pour animer fêtes, mariages et enterrements. Avec sa chienne Priscilla, il mène une existence plutôt tranquille, mais tout va changer le jour où sa mère, qu’il n’a pas revue depuis très longtemps, réapparaît. De plus, l’anniversaire où il doit se produire va être riche en rebondissements…

Mon avis : Quand je suis tombée sur ce livre à la bibliothèque, je me suis dis « chouette, un roman qui a l’air décalé et déjanté, ça doit être sympa ». Alors oui, ce bouquin est complètement barré, mais je l’ai trouvé trop vulgaire. Ce n’est pas pour jouer les prudes mais à mon sens, il y a beaucoup de passages inutilement grossiers et/ou en-dessous de la ceinture. Il faut clairement le prendre comme une parodie, mais même en gardant cela à l’esprit, le comportement des personnages m’a paru trop exagéré. Ce n’est vraiment pas un livre à faire lire aux plus jeunes, et j’ose espérer que l’image qu’il donne des Belges est en grande partie fausse. Par contre, c’est l’occasion d’apprendre plein de mots et d’expressions belges.

Note :

Dalida

Dalida : Affiche

Date de sortie 11 janvier 2017 (2h 04min)
Genres BiopicDrame
Nationalité Français

 

SYNOPSIS ET DÉTAILS

De sa naissance au Caire en 1933 à son premier Olympia en 1956, de son mariage avec Lucien Morisse, patron de la jeune radio Europe n°1, aux soirées disco, de ses voyages initiatiques en Inde au succès mondial de Gigi l’Amoroso en 1974, le film Dalida est le portrait intime d’une femme absolue, complexe et solaire… Une femme moderne à une époque qui l’était moins … Malgré son suicide en 1987, Dalida continue de rayonner de sa présence éternelle. (source : allocine.fr)

 

Mon avis : D’une manière générale, j’aime bien les biopics, et c’est d’autant plus vrai quand ils concernent une personnalité du monde de la chanson, parce que j’apprécie quand il y a des passages musicaux. Avec Dalida, de ce point de vue-là, on est servi. L’actrice choisie pour jouer la célèbre chanteuse l’incarne à la perfection, elle lui ressemble vraiment, ce qui aide encore plus à se plonger dans l’histoire de la vie tragique de l’artiste. On sait avant même de voir le film comment il va se finir, forcément, mais c’est intéressant d’en apprendre davantage sur les différentes péripéties qui ont jalonné l’existence de Dalida et qui expliquent pas mal de choses. Enfin, je pense que ses plus grands fans connaissaient déjà par cœur son histoire mais pour le grand public, c’est une façon comme une autre de faire revivre, le temps d’un film, un mythe dont les chansons incontournables ont fait danser tout le monde.

Note : ♥♥♥

Demain tout commence

Demain Tout Commence : Affiche Antoine Bertrand

Date de sortie 7 décembre 2016 (1h 58min)
Genres ComédieDrame
Nationalités FrançaisBritannique

 

SYNOPSIS ET DÉTAILS

Samuel vit sa vie sans attaches ni responsabilités, au bord de la mer sous le soleil du sud de la France, près des gens qu’il aime et avec qui il travaille sans trop se fatiguer. Jusqu’à ce qu’une de ses anciennes conquêtes lui laisse sur les bras un bébé de quelques mois, Gloria : sa fille ! Incapable de s’occuper d’un bébé et bien décidé à rendre l’enfant à sa mère, Samuel se précipite à Londres pour tenter de la retrouver, sans succès. 8 ans plus tard, alors que Samuel et Gloria ont fait leur vie à Londres et sont devenus inséparables, la mère de Gloria revient dans leur vie pour récupérer sa fille… (source : allocine.fr)

 

Mon avis : Deux mots pour résumer ce film : génial et triste. J’ai adoré, c’est vraiment une très belle histoire qui ne laisse pas insensible. Ne vous étonnez pas si vous en avez les larmes aux yeux. Le dernier tiers du film est riche en rebondissements, attention à l’ascenseur émotionnel. Omar Sy excelle dans ce genre de rôle, la petite Gloria crève l’écran, quant à Clémence Poésy elle est vraiment détestable dans ce rôle de mère qui abandonne son enfant. J’ai également bien aimé le personnage de Bernie, très attachant. Quant à l’appartement où vivent les deux héros, il est juste incroyable, un vrai rêve de gosse. Je vous recommande vivement ce film, même s’il est très triste.

Note : ♥♥♥♥

Hors contrôle

Hors contrôle : Affiche

Date de sortie 17 août 2016 (1h 39min)
Genre Comédie
Nationalité Américain

 

SYNOPSIS ET DÉTAILS

Dave et Mike, frères et rois de la fête, sont mis sous pression par leur entourage qui leur réclame de se ranger. Grâce à une annonce en ligne, ils trouvent deux femmes parfaites pour les accompagner au mariage de leur sœur à Hawaï, mais les deux garçons se retrouvent complètement dépassés par ce duo qui s’avère en réalité encore plus incontrôlable qu’eux. (source : allocine.fr)

 

Mon avis : Bon, on peut s’en douter rien qu’en regardant l’affiche, ce film ne vole pas haut. D’ailleurs quand je vois écrit dessus « inspiré d’une histoire vraie », ça fait peur. Enfin, faut voir si c’est inspiré dans les moindres détails ou juste le pitch général. Ma principale motivation à visionner ce film, c’est Anna Kendrick, et à la rigueur Zac Efron, même si décidément il choisit de faire des films bien pourris. Alors oui c’est rigolo mais vite fait, c’est surtout très souvent vulgaire et en-dessous de la ceinture. Mais il y a quelques trucs qui m’ont fait rire, par exemple le fait que le personnage incarné par Anna Kendrick soit ultra fan de Rihanna au point de ne pas pouvoir s’empêcher de danser sur les tables du bar où elle travaille dès qu’elle entend une chanson de la star. J’ai aussi bien aimé le fait que les quatre héros poussent la chansonnette sur la fin du film. Bref, ne regardez ce film que si vous avez du temps à perdre ou si vous adorez un des membres du casting.

Note :