Les Minions 2 : Il était une fois Gru

Synopsis

Alors que les années 70 battent leur plein, Gru qui grandit en banlieue au milieu des jeans à pattes d’éléphants et des chevelures en fleur, met sur pied un plan machiavélique à souhait pour réussir à intégrer un groupe célèbre de super méchants, connu sous le nom de Vicious 6, dont il est le plus grand fan. Il est secondé dans sa tâche par les Minions, ses petits compagnons aussi turbulents que fidèles. Avec l’aide de Kevin, Stuart, Bob et Otto – un nouveau Minion arborant un magnifique appareil dentaire et un besoin désespéré de plaire – ils vont déployer ensemble des trésors d’ingéniosité afin de construire leur premier repaire, expérimenter leurs premières armes, et lancer leur première mission.
Lorsque les Vicious 6 limogent leur chef, le légendaire  » Wild Knuckles « , Gru passe l’audition pour intégrer l’équipe. Le moins qu’on puisse dire c’est que l’entrevue tourne mal, et tourne court quand Gru leur démontre sa supériorité et se retrouve soudain leur ennemi juré. Contraint de s’enfuir, il n’aura d’autre choix que de se tourner vers  » Wild Knuckles  » lui-même, afin de trouver une solution, rencontre qui lui permettra de découvrir que même les super méchants ont parfois besoin d’amis. (source : allocine.fr)

Mon avis :

A vrai dire, je ne m’attendais à rien de spécial, mais j’ai quand même été un peu déçue par cette suite. Ça se regarde, mais on a déjà vu plus drôle. Fans des Minions, ce deuxième volet les met moins à l’honneur car Gru fait désormais partie de l’équation, vous voilà prévenus. Je n’ai pas aimé le fait que la méchante Belle Bombe soit doublée en français par Claudia Tagbo. Attention, je n’ai rien contre cette dernière, mais elle donne au personnage une tonalité humoristique voire grotesque qui à mon sens ne colle pas trop à son apparence, je lui aurais attribué une voix plus classe. J’aurais limite préféré voir le film en VO du coup, pour profiter du doublage de Taraji P. Henson. Par contre, quand j’ai vu Will Karnage (ou Wild Knuckles en VO comme indiqué dans le synopsis) je me suis dit qu’il ressemblait à Gérard Darmon, donc je valide à fond le choix de cet acteur pour l’incarner. Tout ceci ayant été dit, ça m’a fait plaisir de retrouver les trois héros des « Minions » et de découvrir Otto, qui vient compléter la bande. L’époque dans laquelle se déroule l’histoire me plaît, j’ai aussi apprécié les scènes dans le quartier chinois de San Francisco. Mais globalement, j’ai trouvé que pas mal de trucs étaient un peu trop poussifs et pas forcément bien amenés, par exemple la bagarre finale où tout le monde se retrouve transformé en animal, ça semble sortir de nulle part. Ça reste divertissant dans l’ensemble et ça permet de voir la complicité entre Gru et ses Minions se tisser. Je pense qu’un troisième volet est totalement dispensable mais dans l’absolu je ne serais pas étonnée s’il finissait par voir le jour.

Note :

Les Minions

Les Minions

Synopsis

A l’origine de simples organismes monocellulaires de couleur jaune, les Minions ont évolué au cours des âges au service de maîtres plus abjects les uns que les autres. Les disparitions répétitives de ceux-ci, des tyrannosaures à Napoléon, ont plongé les Minions dans une profonde dépression. Mais l’un d’eux, prénommé Kevin, a une idée. Flanqué de Stuart, l’adolescent rebelle et de l’adorable petit Bob, Kevin part à la recherche d’un nouveau patron malfaisant pour guider les siens. Nos trois Minions se lancent dans un palpitant voyage qui va les conduire à leur nouveau maître : Scarlet Overkill, la première superméchante de l’histoire. De l’Antarctique au New York des années 60, nos trois compères arrivent finalement à Londres, où ils vont devoir faire face à la plus terrible menace de leur existence : l’annihilation de leur espèce. (source : allocine.fr)

Mon avis :

Je constate que je n’ai jamais écrit sur ce film que je viens de revoir à l’occasion de la sortie de sa suite. J’aime bien les Minions, ils sont aussi stupides qu’attachants et ont ce petit côté réconfortant car ils permettent au spectateur de rire de leurs bêtises, ce qui est libérateur. C’est encore plus vrai dans ce long-métrage que dans la trilogie « Moi, moche et méchant » car on suit les aventures de trois Minions bien spécifiques dont on apprend à connaître la personnalité au fur et à mesure. Mon préféré est le petit Bob. Mis à part ça, c’est un dessin animé sympa mais qui ne m’avait pas laissé un grand souvenir, car lors de mon nouveau visionnage d’il y a quelques jours, je me suis rendue compte que je ne me rappelais pas de grand chose. D’un autre côté, je crois que j’étais allée le voir au cinéma donc a priori il y a 7 ans, ça laisse le temps d’oublier. Un peu déçue de la première méchante des Minions, je trouve qu’il lui manque un petit truc pour être plus charismatique ou plus abominable ou plus drôle, car au final elle n’est aucun des trois contrairement à ce que pourrait laisser penser l’affiche. La dernière scène marque la rencontre entre Gru enfant et les Minions et esquisse un début d’explication quant à leur présence auprès de lui, mais pour en savoir plus sur comment leur relation s’est construite, il faudra voir « Les Minions 2 : Il était une fois Gru »…

Note : ♥♥

Post Malone – I Like You (A Happier Song) feat. Doja Cat

Bien sûr, je n’écoute pas du Post Malone habituellement, c’est pour Doja Cat que j’ai jeté un coup d’oeil. A vrai dire, cette chanson ne me déplaît pas, et le clip est franchement sympa. C’est simple, frais, bucolique et estival, parfait pour la saison. Ça me fait penser à plusieurs autres vidéos pop que j’apprécie, comme par exemple « Feels » de Calvin Harris ou « Never Really Over » de Katy Perry. La chanteuse est sublime et même si elle est à moitié à poil (voire carrément topless) dans quasiment chacune de ses apparitions à l’écran, je trouve le rendu esthétique car ce qu’elle porte et ses attitudes évoquent plus la liberté que la vulgarité. Ceci ayant été dit, quand est-ce que tu viens faire un concert en France, Doja ? Si tu pouvais faire la première partie de la tournée européenne (actuellement hypothétique) de The Weeknd comme c’était initialement prévu pour l’Amérique du Nord, ça serait nickel. Merci, bisous.

♫ I could be your Chaka, where Rufus at? (Where?)
80 in the Benz when that roof go back, ayy
They don’t wanna see us get too attached
I just got a feelin’ that we might be friends for a long, long time
You don’t mind and you know I like you for that
Ooh, girl, I like you, I do (I do)
I wanna be your friend, go shoppin’ in a Benz
I like you, I do (I do)
I’ll hit you when I land, can you fit me in your plans? (Baby, yeah)
I like you, I do (I do)
We went to bed in France, then we woke up in Japan
I like you, I do (I do, mm, I do) ♫

Cover art for I Like You (A Happier Song) by Post Malone

Note : ♥♥

The Weeknd – How Do I Make You Love Me?

Je trouve cette chanson toujours aussi sympa, et je continue à être un peu frustrée quand je vois des clips animés au lieu de « vraies » vidéos mettant en scène l’artiste. Mais d’un autre côté, que ce soit en dessins ou en prises de vues réelles, The Weeknd a l’air d’être toujours aussi tourmenté, ou du moins il se complait dans cette imagerie dérangée et dérangeante, et c’est sans doute mieux que la petite histoire qu’on nous raconte ici n’ait pas été tournée avec le vrai Abel en chair et en os. Le seul truc que j’aime bien dans ce clip, ce sont les dernières secondes qui véhiculent l’idée de la renaissance / du fait que la vie n’est qu’un cycle qui recommence éternellement. Merci Abel de proposer de la nouveauté, mais blague à part, quand est-ce que tu annonces les dates de ta tournée européenne ?

♫ How do I make you love me?
How do I make you fall for me?
How do I make you want me
And make it last eternally?
How do I make you love me? (Ooh, ah)
How do I make you fall for me?
How do I make you want me (Ooh, ah)
And make it last eternally? ♫

Note :

Central tour

Indochine fêtait ses 40 ans en 2021. Aussi Nicola Sirkis et sa bande ont prévu de fêter ça avec une tournée des stades. C’est donc en septembre 2020, en pleine crise COVID que nous prenions nos places en nous demandant quelles seraient les conditions pour que ces concerts aient lieu. L’Histoire a voulu que finalement la tournée se passe en 2022, soit quasi 2 ans après avoir pris les billets ! Autant vous dire que nous étions dans un état d’excitation avancé.

Nous avons choisi d’aller à Marseille car nous adorons cette ville où je commence à avoir des repères ! Le stade Vélodrome est impressionnant, et c’était l’occasion pour nous de nous offrir un petit week-end en amoureux. Nous nous sommes promenés dans Marseille toute la journée et avons croisé des compatriotes indochinois un peu partout, notamment quand nous sommes allés brièvement devant le Vélodrome en milieu d’après-midi. Nous sommes ensuite revenus en fin de journée pour commencer à nous installer dans le stade. C’était merveilleux de rentrer par l’escalator avec tous les portraits des grands noms de l’OM et d’arriver là où nous avions déjà visité quelques années plus tôt. Les places étaient géniales, une bonne vision sur l’entrée du groupe, personne devant nous. J’avais l’impression d’être une personne importante. Nous avions brièvement suivi le concert du Stade de France, donc nous avions déjà perçu quelques surprises que ce show allait nous réserver. Cet écran géant de 42T est imposant au milieu de la pelouse. Il permet de voir tous les détails du show. Le choix de la setlist était très bien, variant les chansons qu’elles soient plus anciennes ou plus récentes, qu’elles permettent de bouger ou bien de ressentir l’émotion présente dans le stade. Comme à son habitude, Nicola se donne à son public lors de « Tes Yeux Noirs ». Le seul petit bémol a été 7000 danses que je connais moins et que j’apprécie moins. Il y aurait eu tellement de chansons que j’aurais aimé entendre à la place. C’est comme lorsqu’il y a « J’ai demandé à la lune », on se repose un peu parce qu’on la déteste. Ce n’est pas du Indochine, c’est du Mickey 3D. En attendant, on a pas mal dansé (pas autant que la gentille dame à côté de moi mais quand même !) et chanté – que dis-je hurlé ! Nous avons bien déliré à voir Christine and the Queens danser comme une folle dans les allées du stade. Je ressors de ce concert complétement émerveillée, comme dans une autre dimension. Heureuse d’avoir encore un autre concert à attendre patiemment.

Il était ensuite évident que nous irions à Lyon, car c’est le stade le plus proche de la maison. Même si ça nous faisait mal au coeur d’aller chez Aulas, je me sentais moins à l’aise qu’au Vélodrome. Déjà, nous avons appris une semaine à l’avance que les parkings du stade étaient complets donc j’étais beaucoup plus stressée qu’à Marseille. Nous sommes arrivés par une entrée plus bondée que par l’entrée intimiste des loges, avec véritablement l’ambiance stade – et des éviers bouchés dans un stade quasi neuf ! Et j’ai détesté l’attente à la sortie du concert où on nous laissait sortir par petits flots. Heureusement que ce n’était pas mon premier stade et que l’ambiance était meilleure. Nous avons également profité d’être sur le secteur pour faire des activités (que je vous recommande absolument) avec des amis en attendant le concert : visite du Musée de l’illusion et espace game sur le thème d’Arthur et Excalibur à Enigmatic Lyon. En plus, nous avons eu la chance d’être filmés pour une retransmission au mois de Novembre au cinéma et surtout la surprise de voir débarquer la Garde républicaine et Philippe Jaroussky que nous ne pensions pas retrouver à Lyon. Nous avons apprécié que Nicola essaie d’adapter son concert à chaque stade. C’était juste dommage que le feu d’artifice aient un peu foiré et soit retombé dans le public. Quand on reprend la vidéo de Marseille, il était tellement parfait. Quand on sait le perfectionnisme de Nicola, on est tristes pour lui que le jour de la captation cela ne soit pas parfait. En tout cas, l’émotion était présente et nous avons regretté de ne pas aller finir cette tournée en beauté à Lille mais c’était vraiment loin.

Ellie Goulding – Easy Lover (feat. Big Sean)

Trop contente du come-back d’Ellie ! La chanson est très sympa, et je dois dire que le clip m’intrigue énormément. Il est hyper esthétique et singulier, mais même après plusieurs visionnages je n’arrive pas à savoir s’il y a un sens à tout ça et si oui, lequel (peut-être le fait d’apprendre à s’aimer soi-même ?). C’est marrant de voir  qu’une fois de plus, la chanteuse s’est déguisée un homme, elle l’avait déjà fait dans la vidéo de « New Love » et ça lui va drôlement bien. Les dernières secondes sont encore plus mystérieuses que le reste, serait-ce un teasing du prochain single ou de l’album à venir ? Concernant Big Sean, sa présence sur le morceau ne me dérange pas car elle m’a fait penser à « Feels », tube sur lequel on le retrouve également, mais c’est vraiment dommage qu’il ait de toute évidence participé au clip seulement à distance. Je me demande si Ellie va continuer sur cette lancée, aussi bien musicalement que visuellement, en tout cas j’ai hâte de le découvrir !

♫ Easy lover
Keep it cool on me
Don’t bе cruel to me
‘Cause I know you’ve done it before
Easy lover
Keep it cool on me
Give it all to me
‘Cause I know you’ve done it before

Easy lover, ah, ah, ah
Easy lover, ah, ah, ah ♫

Easy Lover (feat. Big Sean) - Single by Ellie Goulding, Big Sean | Spotify

Note : ♥♥♥

Sean Paul – Light My Fire (feat. Gwen Stefani & Shenseea)

Ça fait plaisir de retrouver Gwen Stefani, même si c’est en featuring sur le titre de quelqu’un d’autre. Le style ragga de Sean Paul va super bien à la chanteuse en plus, donc le résultat est très plaisant. Après, je dois admettre qu’il n’y a pas grand chose à raconter sur le clip. Les différents protagonistes ont l’air de bien s’amuser, l’ambiance de la vidéo colle parfaitement à celle du morceau, c’est rempli de couleurs chaudes comme le titre, avec une Gwen toujours aussi canon. Mais à part ça, il ne se passe rien, d’un autre côté je n’ai pas souvenir de clips de Sean Paul axés sur autre chose que des jolies filles qui bougent leurs corps. Cette chanson, c’est un peu un revival du milieu des années 2000 étant donné les artistes impliqués (à part pour la jeune Shenseea que je ne connais pas mais qui du coup représente la nouvelle génération j’imagine). En bref, ça reste simple mais très sympa, parfait pour l’été.

♫ Baby, won’t you light my fire? (Ever turn it up, fiya)
Can you take me higher? (Blaze dem!)
And when you rub it on me
You really spark my flame (Dutty ya, d-dutty ya)
Baby, won’t you light my fire? (Bidi bang, bang, bang, bang) ♫

Sean Paul – Light My Fire Lyrics | Genius Lyrics

Note : ♥♥

Tic et Tac, les Rangers du risque : le film

Tic et Tac, les Rangers du risque : le film

20 mai 2022 sur Disney + / 1h 37min / Animation, Action, Comédie, Famille, Aventure
Titre original Chip ‘n Dale: Rescue Rangers

Synopsis

De nos jours, Tic et Tac évoluent autant dans le monde de l’animation que dans celui des humains. Depuis la déprogrammation de la série dont ils étaient les héros, leurs vies ont pris des directions diamétralement opposées. Tic s’est reconverti en représentant en assurances et mène une existence ordinaire dans une banlieue résidentielle. À l’inverse, Tac a fait l’objet d’une opération médicale et se produit dans des galas et conventions empreints de nostalgie, où il tente vainement de retrouver sa gloire passée. Lorsqu’un de leur ancien partenaire d’aventure disparaît mystérieusement, Tic et Tac n’ont d’autre solution que de renouer avec leur amitié passée et de reprendre leurs chapeaux de détectives pour partir à son secours… (source : allocine.fr)

Mon avis :

Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en lançant ce film, eh bien si vous aimez rire, je vous le recommande ! Il m’a fait penser à « Qui veut la peau de Roger Rabbit » et « Space Jam » pour le côté mélange entre le monde réel des humains et celui des personnages de dessins animés. Personnellement, je n’ai jamais été une fan de Tic et Tac, disons juste que je ne connais que très superficiellement leurs aventures (par contre je me rappelle que j’avais un puzzle Les Rangers du risque). Mais j’aime bien l’idée que les deux acolytes soient en fait des acteurs qui ont eu du succès dans les années 1990 grâce à leurs rôles dans une série phare, puis que la vie a séparés et qui se retrouvent bien plus tard, par la force des choses. Le principal élément comique et divertissant de ce long-métrage, c’est bien sûr la multitude de références à la pop culture et au monde du cinéma, et attention, pas uniquement aux films Disney ! Il y en a tant que c’est difficile de toutes les avoir, et même tout simplement de les voir, du moins en un seul visionnage. Allez, je termine avec un petit teaser qui va vous donner l’eau à la bouche (ou pas) : qui a dit qu’on ne voyait Sonic le hérisson que dans un seul film en 2022 ?

Note : ♥♥♥

Jurassic World : Le monde d’après

8 juin 2022 en salle / 2h 26min /Action, Aventure, Science fiction

DeColin Trevorrow

ParMichael Crichton, Colin Trevorrow

AvecChris Pratt, Bryce Dallas Howard, Laura Dern

Titre original Jurassic World: Dominion

Synopsis

Quatre ans après la destruction de Isla Nublar. Les dinosaures font désormais partie du quotidien de l’humanité entière. Un équilibre fragile qui va remettre en question la domination de l’espèce humaine maintenant qu’elle doit partager son espace avec les créatures les plus féroces que l’histoire ait jamais connues.
 
MON AVIS : Cela faisait des années que nous n’étions pas retourné au cinéma à St Etienne. J’y suis allée à la fois mélancolique de toutes les fois où j’y suis allée seule ou avec des amis mais aussi intriguée par la nouveauté des lieux. J’étais très heureuse d’avoir pu avoir la possibilité d’aller voir ce film car j’adore la saga Jurassic World (j’ai connu après coup les Jurassic Park et j’étais plutôt flippée). J’aime beaucoup le duo Chris Pratt – Bryce Dallas Howard. J’aime le fait qu’il y ait beaucoup d’action, pas de temps mort. Ok, il y a beaucoup d’incohérences et on sait que c’est du cinéma américain irréaliste. Mon problème était surtout que je n’ai pas toujours tout compris. Mais j’ai eu ce que je voulais : des dinos, de l’action, de l’amour et un peu de nostalgie. Oui, ce n’est clairement pas le meilleur et j’espère qu’ils s’arrêteront là pour ne pas lasser. On peut essayer d’aller au cinéma pour se divertir uniquement et pas toujours être dans la critique de tout.
 
JURASSIC WORLD : ♥♥♥