Séoul Copycat

Séoul copycat - broché - Jong-Kwan Lee, Moduk Koo, Claude Murcia - Achat  Livre ou ebook | fnac

Résumé :

Un inspecteur se réveille à l’hôpital, sous les yeux d’une collègue et de son chef. Il a réchappé de justesse à un incendie alors qu’il poursuivait un dangereux copycat. Ce dernier a déjà tué trois personnes, trois personnes suspectées d’avoir commis des crimes, trois personnes qui ont été assassinées comme elles avaient probablement elles-mêmes assassiné leurs victimes. Trois personnes qui étaient parvenues à échapper à la justice. Quel est ce copycat qui pense pouvoir pallier les imperfections de la justice, pourrait-il lui-même appartenir au système judiciaire, ou à la police ? Enquêtant sur les lieux des crimes, l’inspecteur avait accumulé les indices jusqu’à cet incendie. Sous le choc, il semble avoir perdu la mémoire, il semble avoir oublié que toutes ces preuves menaient à un seul homme, lui-même. Le copycat est un assassin qui tue en imitant d’autres criminels dont il a connu les modes d’action dans les médias. Généralement il est lui-même un tueur en série. Ce mimétisme peut aller jusqu’à copier des crimes fictifs décrits dans des livres, films ou séries.

Mon avis :

J’ai bien aimé ce livre mais il faut s’accrocher pour suivre qui est qui car les personnages, en plus d’avoir des noms avec lesquels les lecteurs occidentaux ne sont généralement pas familiers, ont souvent des noms de famille proches voire identiques, intrigue coréenne oblige. Je pense que c’est pour cela qu’il y a un glossaire en fin d’ouvrage pour que le lecteur puisse plus facilement retrouver quelle fonction occupe tel personnage, notamment s’il fait une longue pause dans sa lecture. J’ai souvent plaisanté en disant que tous les Coréens s’appelaient Kim, il se trouve que non seulement ce bouquin a plutôt tendance à aller dans mon sens, mais en plus cet article a été pour moi l’occasion de faire une petite recherche et il s’avère que 23% des Coréens portent ce nom ! Fin de cet aparté, revenons à l’histoire. J’ai apprécié l’enquête et le côté résolution à double détente. Le suspense est prolongé jusqu’au bout et on doute de plusieurs personnages pendant un bon moment. Le lecteur se demande jusqu’à la fin qui du copycat ou de la police va gagner, c’est assez haletant.

Note : ♥♥

Bebe Rexha – Satellite (feat. Snoop Dogg)

La plupart du temps, je trouve les clips façon dessin animé un peu fainéants ou inintéressants car je préfère voir les artistes en vrai, quoiqu’ici ils sont vraiment très reconnaissables, surtout le rappeur. Mais celui-ci me plaît beaucoup, même si j’ai du mal à comprendre pourquoi ce choix car étant donné qu’on voit Bebe et Snoop en chair et en os au début de la vidéo, ils auraient pu prendre le temps de tourner ensemble pour la totalité des 4 minutes au lieu de se contenter de 30 secondes. J’aime beaucoup la chanson, toutefois je ne suis pas sûre de valider l’apologie de la fumette véhiculée par les paroles et la thématique du clip. En même temps, ce dernier est tellement too much à ce niveau-là que cela en devient rigolo : Bebe dans sa fusée en forme de joint, le vaisseau mère qui ressemble à une énorme feuille de cannabis, les petits personnages boulettes de shit, et j’en passe, je vous laisse découvrir tous les autres petits détails. Pour le coup c’est totalement cohérent d’avoir choisi Snoop Dogg comme featuring. Je suis curieuse d’écouter l’intégralité de « Bebe », l’album de la chanteuse qui va sortir fin avril, car j’aime beaucoup les sonorités rétro des quelques pistes déjà dévoilées.

♫ Last night, I got higher than a satellite (Ah)
I took a one-way ticket, it’s a one-man mission to paradise (Ah)
Last night, I got higher than a satellite (Ah)
I made a bad decision, baby, now I’m startin’ to feel alright

Dancin’ outside my body
Don’t even try to stop me
Dancin’ outside my body
Ground control, do you copy? ♫

Satellite - Single by Bebe Rexha | Spotify

Note : ♥♥♥

Ice Spice & Nicki Minaj – Princess Diana

Ce clip me fait clairement penser à celui de « 34+35 » version remix, car ici aussi on retrouve le côté pyjama party entre copines rappeuses à moitié à poil, le truc vachement crédible. Je ne connais pas Ice Spice mais j’ai par contre vraiment l’impression que Nicki Minaj préfère faire des featurings avec tous les nouveaux artistes de la scène urbaine US plutôt que de s’occuper de son propre album. Cette chanson n’est pas trop mal mais l’espèce de gimmick « grrah » est un peu lourdingue à force d’être répété encore et encore. Que dire de plus ? Beaucoup de clichés dans cette vidéo, entre le twerk, le camaïeu de rose, les ongles ultra longs, le placement publicitaire, les looks de pétasses… Incroyable qu’après plus de treize ans dans le game, Nicki ne se soit jamais lassée de ce style. On verra ce qu’elle nous proposera dans treize ans !

♫ Like, grrah, keep it a stack
Bitches move wock’ ’cause they know I got bands (Damn)
They be chattin’, I don’t give a damn
And I’m still gettin’ money, I know who I am (Grrah)
Tryna be low, he gon’ hit up my ‘Gram (Grrah)
If he smart, he gon’ act like a fan (Damn)
Thinkin’ you bigger, they got ya head gassed (Grrah)
Bitches slow, so I give ’em a pass ♫

Cover art for Princess Diana by Ice Spice & Nicki Minaj

Note :

YoungBoy Never Broke Again – WTF (feat. Nicki Minaj)

C’est la première fois que je vois l’acronyme WTF signifier « Who the fuck » au lieu de « What the fuck », mais après tout pourquoi pas. Cet autotune incessant de la part des rappeurs est usant et très désagréable à l’oreille, donc je n’écouterai pas souvent ce titre. On peut ne pas aimer Nicki Minaj mais au moins elle n’est pas dans ce délire-là et du coup son passage est beaucoup plus audible. Le clip apporte un peu d’originalité à ce qu’on a l’habitude de voir dans le rap, par exemple le fait que YoungBoy NBA soit accompagné d’une femme plutôt petite, pas squelettique, avec un look plus gothique que bling-bling et couverte de la tête aux pieds, ça change des standards du game. Quant à Nicki, elle aussi est très sage en termes de tenues, en mode petit rat de l’opéra (OK, pas vraiment crédible quand elle joue la prof avec ses talons hauts, mais bon). Mais globalement il ne se passe rien d’intéressant, ce n’est pas très folichon.

♫ Who the fuck is these bitches?
Who the fuck these niggas is?
Who the fuck these people are?
Tell ’em that we can’t kick it ♫

Cover art for WTF by YoungBoy Never Broke Again & Nicki Minaj

Note :

Super Mario Bros, le film

Super Mario Bros, le film

Titre original The Super Mario Bros. Movie

Synopsis

Alors qu’ils tentent de réparer une canalisation souterraine, Mario et son frère Luigi, tous deux plombiers, se retrouvent plongés dans un nouvel univers féerique à travers un mystérieux conduit. Mais lorsque les deux frères sont séparés, Mario s’engage dans une aventure trépidante pour retrouver Luigi. Dans sa quête, il peut compter sur l’aide du champignon Toad, habitant du Royaume Champignon, et les conseils avisés, en matière de techniques de combat, de la Princesse Peach, guerrière déterminée à la tête du Royaume. C’est ainsi que Mario réussit à mobiliser ses propres forces pour aller au bout de sa mission. (source : allocine.fr)

Mon avis :

Moment fort agréable au cinéma devant ce film, pourtant à la base je ne suis pas vraiment team Nintendo, mais d’un autre côté, qui ne connaît pas Mario ? Je pense que je suis loin d’avoir vu et compris toutes les références disséminées par-ci par-là mais pas besoin de cela pour apprécier ce long-métrage. J’ai bien aimé le fait que la princesse Peach n’ait pas un rôle de potiche, j’ai été surprise par le choix de faire de Mario et Luigi des habitants de Brooklyn, que Donkey Kong ne soit pas vraiment méchant, et que dire de la personnalité de Bowser ! Encore une fois, je ne suis pas du tout une spécialiste de cet univers mais j’ai quand même l’impression que pas mal de libertés ont été prises, ou du moins des choix ont été faits pour coller aux attentes actuelles du grand public. En tout cas on ne s’ennuie pas, il y a de l’action et de l’humour. Je dirais même que le film est presque un peu trop court, disons qu’une dizaine de minutes en plus n’auraient pas été de refus, même si au premier abord je ne vois pas trop ce qui manque à l’histoire et aurait pu justifier des scènes supplémentaires. Il y aura sans l’ombre d’un doute une suite, en raison de la fin du film mais aussi et surtout parce qu’il a fait un démarrage canon au box-office, et cela me réjouit.

Note : ♥♥♥

EDIT ORACLE 4/1/24 : J’aurais toujours un train de retard par rapport à Clow. Je voulais voir ce film par curiosité. Je ne suis pas une immense fan de Mario mais ça me rappelle de nombreux souvenirs de mon enfance. Des le début on accroche à l’histoire qui essaie de bien expliquer comment on passe de plombier à sauveur de princesse. Ça c’était très bien trouvé. On retrouve tous nos personnages préférés et clairement ça fait plaisir. Je suis comme Clow, j’ai trouvé la princesse pas cruchasse du tout et c’était cool ! Je suis étonnée que Clow n’ait pas mentionné la BO de fou qu’ils nous ont fait. Les musiques étaient bien choisies et mettaient bien dans l’ambiance. J’ai aussi aimé le fait de voir de nombreux univers différents : le royaume champignon, luigi’s mansion, la piste arc en ciel… c’était vraiment super sympa. Il y a eu pas mal d’humour effectivement. On ne s’ennuie pas et le film passe à une vitesse folle. Tout est vraiment très bien fait.

SUPER MARIO BROS : ❤️❤️❤️❤️

Avenir

Avenir : Affiche

De quoi ça parle ?

Eliott, 31 ans, entend parler d’un site Internet sur lequel on peut revendre ses vieilles adresses mail qu’on n’utilise plus. Mais un évènement inattendu se produit et il se retrouve à échanger par email avec… lui-même, vingt ans plus tôt. Il va alors avoir l’idée d’utiliser cette improbable connexion pour changer le cours des choses, par exemple pour empêcher l’accident qui va rendre sa soeur handicapée. Son présent s’en retrouve de facto modifié, mais les deux Eliott vont vite se rendre compte que jouer avec le passé a des conséquences incontrôlables…

Mon avis :

Le truc qui m’a donné envie de donner sa chance à cette nouvelle mini-série made in TF1, ce n’est pas Kev Adams mais la bande annonce qui mettait l’accent sur le fait de pouvoir agir sur son passé pour modifier son présent. Néanmoins le fait que le rôle titre soit tenu par Kev Adams ne m’a pas dérangée, s’il est un peu lourd niveau humour dans les émissions où on le laisse dire tout ce qu’il veut, quand il est acteur ça passe. J’ai bien apprécié les deux premiers épisodes, qui permettent de planter le décor et laissent entrevoir les possibilités qui s’ouvrent au héros. J’ai adoré les deux épisodes suivants, dans lesquels le rythme s’accélère et les rebondissements s’enchaînent, j’étais impatiente de découvrir la fin. Hélas, les deux derniers épisodes sont décevants, j’ai trouvé que ça partait un peu trop dans tous les sens et paradoxalement, là où après les épisodes 3 et 4 je me désolais du fait qu’il n’en reste que deux, je n’ai pas aimé la fin hyper ouverte qui se termine sur un cliffhanger annonçant clairement une future saison 2. Je ne sais pas, je trouve que ça fait un peu prétentieux de faire cela, sans même savoir si la série allait marcher, en tout cas je ne suis pas fan de la façon dont ça se finit. Je pense que je regarderai la suite car ça reste sympathique mais je vois d’ici l’intrigue qui va basculer dans l’accumulation d’incohérences, risque propre aux fictions traitant de voyages temporels (au sens large du terme).

Note : ♥♥

Elvis

Elvis

22 juin 2022 en salle / 2h 39min / BiopicMusical

SYNOPSIS

La vie et l’œuvre musicale d’Elvis Presley à travers le prisme de ses rapports complexes avec son mystérieux manager, le colonel Tom Parker. Le film explorera leurs relations sur une vingtaine d’années, de l’ascension du chanteur à son statut de star inégalé, sur fond de bouleversements culturels et de la découverte par l’Amérique de la fin de l’innocence. (source : allocine.fr)

Mon avis :

J’aime bien découvrir la vie d’un(e) artiste à travers son biopic, même si quand il s’agit d’une célébrité que je connais sans plus, je ne sais pas dans quelle mesure le film est fidèle à la réalité ou occulte certaines choses. J’ai été abasourdie de découvrir que le fameux déhanché du King avait failli l’envoyer en prison tellement l’Amérique de l’époque pouvait être puritaine, et qu’il n’avait jamais fait de concert en dehors des Etats-Unis. J’ignorais aussi qu’Elvis était si proche de la communauté afro-américaine et que dans son enfance il avait côtoyé beaucoup de Noirs. Je ne connaissais pas du tout le colonel Parker et je dois admettre que Tom Hanks est méconnaissable dans ce rôle. Le film est très intéressant mais j’ai commencé à trouver le temps long à partir du moment où le chanteur s’installe à Las Vegas. C’est incroyable de constater à quel point cet artiste a pu déchaîner les passions, notamment auprès de la gent féminine, comme c’était a priori la première fois qu’un chanteur faisait un bruit aussi retentissant, je comprends mieux pourquoi on l’a surnommé The King et pourquoi il est entré à jamais dans la légende du monde musical. C’est vraiment dommage pour lui qu’il se soit laissé manipuler par son manager, mais on ne peut pas être doué en tout. La bande originale du film est très sympa, à base de tubes d’Elvis bien sûr, mais souvent proposés sous forme de remix incorporant des choses plus actuelles, comme par exemple « Vegas » de Doja Cat (dont j’ai parlé ici) ou encore la version de « Viva Las Vegas » qui inclut des éléments de « Toxic » de Britney Spears. Et bien sûr, on en prend plein la vue niveau costumes et décors.

Note : ♥♥♥

Ellie Goulding – Better Man

Je ne suis pas ultra fan du clip mais je trouve qu’il est cohérent avec la chanson qu’il illustre, dans le sens où les deux ont un côté étrange. Je ne sais pas encore si j’aime le morceau, mais il a le mérite d’être singulier avec ses changements d’ambiance et les différentes façons dont Ellie pose sa voix en chantant. La vidéo a une espèce de dimension expérimentale que je salue mais le résultat n’est pas très beau, c’est pas le genre de truc qu’on a envie de voir et revoir, ça peut même donner le tournis. Je pense que je préfèrerais que l’artiste sorte deux fois moins de clips et ait plus d’ambition pour ses visuels.

♫ Tried to make me lose my cool
Hold my karma in my hands
Every time I get a chance
Baby, I’m a better man

‘Cause I’m soft as a shadow and strong as a drink I like
Cold as my dollars and warm as the waves I ride
‘Cause I’m soft as a shadow and strong as a drink I like
Cold as my dollars and warm as the waves I ride

I’m the better man
I’m the better man
I’m the better man
I’m the better man ♫

Note :

J’ai dû rêver trop fort

Amazon.fr - J'ai dû rêver trop fort - Bussi, Michel - Livres

Résumé :

Montréal, San Diego, Barcelone, Jakarta… Le quarté dans l’ordre.
Sur le chemin de Roissy, Nathy s’interroge. Quelles sont les probabilités pour qu’on lui attribue, précisément, ces quatre destinations – les mêmes qu’il y a vingt ans ? Car l’hôtesse de l’air n’a jamais oublié cette parenthèse enchantée – quelques accords de guitare, un regard intense sous une casquette écossaise… Un rêve trop grand, trop fort – vingt ans déjà ! Quel dieu farceur s’ingénie donc ainsi à multiplier les coïncidences ? Quel dieu cruel, à vouloir tout détruire ? Est-il enfin l’heure d’affronter son passé ?

Mon avis :

Ce livre n’est clairement pas mon Michel Bussi préféré. Si je l’ai trouvé divertissant et plutôt prenant comme habituellement avec cet auteur, j’en juge par contre les ressorts beaucoup trop exagérés et peu crédibles. Ce que l’héroïne a fait vingt ans plus tôt me paraît tout bonnement inconcevable et irréaliste, tout comme le fait que cela ait pu se faire si facilement d’un point de vue technique on va dire. Comme quoi le temps passe mais on ne change pas, j’avais eu le même genre de réaction il y a un peu plus de trois ans face au même style de situation, comme en témoigne mon article sur « Au petit bonheur la chance ! » d’Aurélie Valognes. Du coup je ne sais pas mais ce truc tellement gros et inimaginable m’a un peu gâché ma lecture, je n’ai ressenti aucune sympathie pour les héros et en plus l’autre « grand » mystère de l’intrigue n’était pas exceptionnel non plus. Par contre, j’ai adoré voyagé aux quatre coins du monde avec cette histoire, hôtesse de l’air oblige, les chapitres se déroulant à Barcelone m’ont rappelé avec nostalgie mon séjour dans la capitale catalane d’il y a huit ans déjà. Allez, on ne peut pas taper dans le mille à chaque fois, ça ne m’empêchera pas de continuer à lire du Bussi lorsqu’une nouvelle occasion se présentera.

Note : ♥♥

Edit Oracle 21/06/23 : J’ai également lu ce livre il y  a quelques temps mais Clow est toujours plus rapide ! Il faut dire que j’évite l’ordinateur depuis plusieurs mois et écrire les articles sur mon téléphone n’est pas des plus pratiques. Michel Bussi est très fort pour raconter des histoires. Il trouve toujours le moyen de vous emporter avec lui et vous dévorez les pages les unes après les autres. Lire du Bussi c’est pour moi un gage de sûreté. Personnellement, j’ai beaucoup apprécié l’histoire d’amour dans laquelle on est embarquée et son lot de mystères pour retracer tout ça. Après, effectivement, les explications de comment tout cela est rendu possible sont un peu tirées par les cheveux mais ça ne m’a pas dérangé plus que ça.

J’AI DU REVER TROP FORT : ♥♥♥

La Zarra – Evidemment

Je suis tellement contente que ce soit La Zarra qui représente la France cette année à l’Eurovision ! Et encore plus d’avoir réussi à avoir des places pour son concert parisien de juin prochain ! « Evidemment » est donc la chanson française en compétition pour cette édition. J’ai toujours été plutôt nulle pour deviner ce qui allait fonctionner ou non à l’Eurovision (enfin sauf l’an dernier, j’avais dit que l’Ukraine aller gagner mais bon, tout le monde s’en doutait et savait que ce n’était pas vraiment grâce à leur proposition artistique), donc je ne me prononcerai pas. J’aime bien le morceau, je trouve que ça ressemble à ce que l’artiste a pu proposer dans son album « Traîtrise » notamment au niveau des paroles et de la thématique, tout en étant plus pop, plus accessible, plus « eurovisionesque » peut-être ? Je n’ai pas grand chose à dire sur le clip, il est basique as fuck mais permet d’accentuer le style de personnage qu’incarne La Zarra, ce côté diva / grande dame véhiculé au premier abord par ses tenues et coiffures. La seule que j’espère, c’est que sa participation au concours, quelque soit son résultat, lui apporte une belle visibilité et donne un coup de boost à sa carrière car je continue à la trouver hyper talentueuse et ce serait dommage qu’elle ne soit qu’une one hit wonder avec son « Tu T’en Iras ». Allez le Québec !

♫ Évidemment
Toutes ces belles promesses que j’entends
C’n’est que du vent
Évidemment
Car après l’beau temps vient la pluie
C’est c’qu’on oublie
C’est toujours trop beau pour être vrai
Mais c’n’est jamais trop laid pour être faux
Évidemment
Elle ne s’ra plus jamais la même
Cette fille d’avant ♫

Cover art for Évidemment by La Zarra

Note : ♥♥