Lady Gaga, Bradley Cooper – Shallow (A Star Is Born)

Ce n’est clairement pas le genre de morceau qui me plait ou que j’écouterais spontanément, mais dans le cadre d’un film, ça peut passer. De la même façon, le clip n’est pas génialissime mais pour sa défense, il sert surtout de trailer à « A Star Is Born ». Un joli duo, et surtout l’occasion d’enfin revoir Lady Gaga, ça me fait tellement plaisir ! Même si elle est loin de me faire rêver avec son look on ne peut plus basique, c’est toujours un régal pour les oreilles. Je suis contente qu’elle puisse avoir l’opportunité de jouer le premier rôle féminin dans un long-métrage, même si c’est en incarnant un personnage pas forcément très éloigné de ce qu’elle a pu vivre à titre personnel. Cette vidéo a plutôt augmenté mon envie de voir le film. Par contre, la chanson en elle-même n’est certes pas mal, mais de là à évoquer le possible gain d’un Oscar… En tout cas, c’est une belle surprise que ce clip auquel je ne m’attendais pas.

Note :

L’Incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage

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Résumé : A 36 ans, Tsukuru ignore toujours pourquoi, il y a seize ans, ses quatre meilleurs amis, Rouge, Bleu, Noire et Blanche, dont il était très proche, lui ont demandé de ne plus chercher à les voir et ont complètement coupé les ponts avec lui. Même son nouvel ami de la fac finit par disparaître du jour au lendemain. Tsukuru a alors passé plusieurs mois à ne penser qu’à la mort, avant de réussir à remonter la pente. Aujourd’hui, sa nouvelle petite amie le convainc de chercher à obtenir des explications, afin de pouvoir aller de l’avant.

Mon avis : J’ai trouvé ce roman très court par rapport aux autres de Murakami que j’ai déjà lus. Je l’ai également moins apprécié, sans pour autant le trouver nul. Ce qui ne m’a pas plu, c’est le fait qu’à la fin, plein de choses restent en suspens, et je suis du genre à aimer avoir des explications sur les différents mystères abordés. La principale interrogation du héros (et du lecteur) trouve néanmoins une réponse, c’est déjà ça. Je ne sais toujours pas quoi penser des scènes qui décrivent explicitement des scènes de sexe, et qui ont l’air d’être présentes dans chacun des livres de l’auteur. Le fait que Tsukuru mène une quête pour tenter de découvrir la vérité sur un évènement de son passé donne vraiment envie de poursuivre sa lecture, et de ce fait ce bouquin se lit plutôt rapidement. J’ai aussi bien aimé le passage qui se déroule en Finlande. Par contre, il y a plusieurs éléments qui sont évoqués mais qui semblent n’avoir aucun lien les uns avec les autres, je ne sais pas si c’est moi, mais encore maintenant je me demande le pourquoi du comment. En tout cas, ce livre me conforte dans l’idée que j’aime bien cet auteur et que je lirai probablement d’autres oeuvres écrites de sa plume.

Note : ♥♥

Charli XCX – Pop 2

Je suis complètement à la bourre pour vous parler de cet album, parce qu’il est sorti en décembre 2017, mais j’ai mis du temps à me poser pour l’écouter tranquillement et me faire un avis. Et c’est peut-être aussi parce qu’avec le temps, Charli XCX s’éloigne de plus en plus du style qu’elle avait quand j’ai commencé à m’intéresser à elle, comme vous allez le constater.

Backseat (feat. Carly Rae Jepsen) : Le ton est donné dès le début, cet album sera rempli de bruits plus que de musique, et l’autotune règne en maître. Le duo fonctionne plutôt bien, mais c’est un morceau qui à mon sens a besoin de plusieurs écoutes pour être apprécié. Il s’en dégage une ambiance très particulière, à la fois sensuelle et robotique.

Note : ♥♥

Out Of My Head (feat. ALMA & Tove Lo) : De mémoire, cette piste est la seule à être sortie en tant que single, et c’est compréhensible, puisque c’est la plus adaptée au grand public. Même si je la trouve sympa, ce n’est pas le plus gros tube de Charli XCX. Le refrain est très répétitif, il reste en tête, et donc au moins, la chanson porte bien son titre.

Note : ♥♥

Lucky : Je n’aime pas ce titre, il est vraiment tout sauf harmonieux, et la voix de la chanteuse est tellement trafiquée qu’on a du mal à comprendre les paroles. Le côté minimaliste de la musique ne me plaît pas non plus.

Note : Ø

Tears (feat. Caroline Polachek) : Ce morceau aurait pu être meilleur s’il n’y avait pas sans cesse en arrière-plan cette espèce de cri étouffé. J’aime bien la façon de chanter du refrain. Mais d’une manière générale, il y a trop d’effets en même temps, ça en deviendrait presque indigeste.

Note :

I Got It (feat. Brooke Candy, CupcakKe & Pabllo Vittar) : Cette piste est vraiment bizarre et expérimentale, je salue l’originalité, malgré le refrain ultra-répétitif et qui ressemble plus à quelqu’un en train de vomir qu’à des paroles intelligibles. En bref, cette chanson est un ovni. Je n’arrive pas à décider si c’est génialement fou ou juste super nul. Le bridge est pour moi le meilleur passage, le reste est vraiment du bruit.

Note :

Femmebot (feat. Dorian Electra & Mykki Blanco) : La chanson commence bien, et puis arrive le refrain. C’est assez rare que je trouve les couplets meilleurs, mais c’est le cas ici, même si je dois reconnaître qu’on peut au moins s’imaginer danser sur ce refrain. Mais j’aime bien l’idée du morceau. Le bridge rappé était dispensable.

Note :

Delicious (feat. TOMM¥ €A$H) : Quand j’entends ça, je me demande ce que ça donnerait en live… Le pire c’est que je préfère les parties de Tommy Cash à celles de Charli alors que c’est un rappeur… Je pense que c’est une des pires pistes de l’album, qui peut facilement donner mal à la tête.

Note : Ø

Unlock It (feat. Jay Park & Kim Petras) : Une chose est sûre, dès que le morceau commence, on a compris quel est son titre. On a encore une fois droit à un refrain bien répétitif, mais cette fois, je trouve l’ensemble plus agréable. Cette chanson aurait méritée d’être en solo, parce que la partie rappée gâche le tout et semble sans aucun lien avec le reste de la piste.

Note : ♥♥

Porsche (feat. MØ) : Je n’apprécie pas l’effet tenté sur ce titre, cette espèce de voix trop saturée, on passe une bonne partie du morceau à se demander s’il y a un problème de qualité et d’où il peut bien venir. Mais c’est sympa d’entendre MØ. Au-delà de ce qui ne me plaît pas, la chanson n’a en elle-même rien de révolutionnaire.

Note : Ø

Track 10 : Déjà, je ne comprends pas l’intérêt de nommer la chanson comme ça, donc pour info, je l’appelle « Blame It On Your Love ». Le refrain est plutôt bien, c’est ce qui se rapproche le plus des propositions catchy et mainstream qui pour moi étaient la marque de fabrique de Charli XCX. Mis à part l’intro, et certaines fantaisies disséminées au gré de la piste, ce morceau est un des plus accessibles de « Pop 2 ». Mais je ne l’écouterais pas en boucle pour autant.

Note :

« Pop 2 » fait donc la part belle aux featurings, avec seulement deux chansons sur dix en solo. Cet album est aussi clairement expérimental, donc on peut rapidement se sentir dérouté et abandonner l’écoute avant la fin. Etant donné que c’est ni plus ni moins que la deuxième mixtape sortie par l’artiste en 2017, je ne sais pas si je dois me réjouir une fois de plus de sa générosité, ou si je dois penser qu’elle privilégie la quantité à la qualité. Car soyons honnête, ce « Pop 2 » ne me plaît pas vraiment, je ne pourrais l’écouter en boucle ni même d’une traite sans avoir mal à la tête. Les chansons qui le composent ne me donnent pas envie de chanter ni de danser, et pour moi ces titres sont juste impossibles à interpréter en live. C’est une direction artistique intéressante qu’emprunte ici Charli XCX, mais c’est trop robotique et autotuné à mon goût. En fait plus ça va et moins j’apprécie ce que la chanteuse sort comme album/EP/mixtape. A voir ce qu’elle envisage pour la suite. J’y prêterai tout de même une oreille par curiosité.

Note globale :

Mon poussin

Mon poussin : Affiche

 

Synopsis et détails

Vincent, 18 ans, se fait larguer par Elina. C’est son premier amour, c’est la fin du monde ! Ses parents décident donc de prendre les choses en main et vont tout tenter pour lui faire oublier cette fille : il devra les suivre dans une cure de désintoxication amoureuse dont ils vont imaginer le programme… (source : allocine.fr)

 

Mon avis : Bof, mieux vaut passer son chemin. A croire qu’Isabelle Nanty et PEF ne tournent des films que pour se faire du fric facile parce qu’après les deux longs métrages des « Profs », on reste dans le cliché de la comédie française pas drôle et qui en fait des tonnes. La pseudo histoire est on ne peut plus prévisible, et je n’ai pas trop aimé le fait que le dernier tiers du film s’éloigne du sujet principal et se contente de nous raconter une énième fois la vie d’un couple en crise. L’acteur qui joue Vincent est celui qui sauve un peu le truc. Bref, à éviter, sauf si vous n’avez vraiment rien d’autre à faire.

Note : Ø

1909

Salut tout le monde ! Je reviens de mon deuxième escape game grandeur nature ! Et je vais vous raconter tout ça.

Vous le savez, Clow est une grande fan de ce jeu que nous avons découvert sur Internet et en compte plusieurs à son actif. Moi j’ai testé le jeu IRL avec ma soeur qui m’a poussé à y aller. Bah, oui, c’est une chose de s’amuser sur un ordi avec des tutos Youtube pour s’aider. Là on s’enferme quand même dans une pièce. Nous avons donc tenté l’aventure à Saint Etienne.

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1909 est une petite « boutique » sympa où l’on peut trouver 5 pièces avec différents niveaux. Ma soeur ayant déjà fait le niveau 1, nous avions directement débuté par le niveau 2. Le thème de Sabotage était de sauver la planète de la menace d’un missile. Arrivée dans la pièce, je m’étais demandé dans quoi je m’étais embarquée. Le but est donc de bien fouiller et de procéder par étapes. Il faut savoir qu’un groupe sur deux arrive à sortir de cette pièce – enfin, ne vous inquiétez pas, ils viennent vous libérer et si vous vous ne sentez pas bien vous avez la clé à votre disposition dans une petite boîte. Je ne sais pas si c’est le fait que ça soit le premier pour moi, mais pour le moment, c’est celui que j’ai préféré. Il était plus structuré, les indices plus « évidents » même si le maître du jeu nous a clairement aidé et que nous avons terminé à quelques secondes de la fin. J’ai vraiment aimé tout observer, essayer de comprendre la logique de la pièce. Pour celui-ci, nous étions 4 et chacun de nous a amené sa pierre à l’édifice, chacun avait sa manière de réfléchir et ensemble nous avons trouvé les solutions.

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Dans Prisonniers, je savais à quoi m’attendre, c’est donc moins impressionnée que j’ai débuté l’aventure. Nous étions 5 et heureusement ! Nous avons débuté avec deux participants menottés – et bien entendu, nous avions décidé que ce serait nous, les deux qui avons déjà fait un escape game pour éviter que mes amis se demandent ce qu’ils foutaient là. Et c’est vrai que cela a permis de les faire rentrer très vite dans le jeu. Le seul inconvénient est que du coup, je me suis sentie déboussolée de savoir ce qui avait été utilisé ou non. Bizarrement, je l’ai trouvé plus difficile – alors que 80 % des personnes arrivent à en sortir et que nous-même en sommes sortis 9 minutes avant la fin du chrono. Mais j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup d’indices inutiles (le principe est de mettre quelques leurres). J’étais donc un peu perdue au milieu de tout ça et j’étais en train de me décourager quand nous avons eu des indices.

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Le fait est que sortie de ces salles, à chaque fois le même effet : l’envie de recommencer encore et encore. Déjà en projet de faire la salle suivante : Wanted. Et pourquoi pas tester d’autres lieux – même si les autres endroits sont classés « horreur »… Bref, je recommande vraiment à tout le monde (même aux grands timides) ce super endroit. Je regrette qu’il n’y ait pas plus de salles avec des niveaux faciles. Merci en tout cas à l’équipe de 1909 pour ces moments – et bon anniversaire !

EDIT 28/12/2018 : Et voilà, nous avons enfin pu tester le fameux niveau 3, celui où seuls 40 % des joueurs s’en sortent. Dans Wanted, vous êtes enfermés dans le bureau du shérif. Encore une fois je me suis prêtée au jeu de me faire menottée parce que personne ne bougeait et j’ai senti l’impatience de me faire libérer parce que je voulais participer. C’est une salle que j’ai vraiment apprécié parce qu’elle demandait de la réflexion, de l’esprit d’équipe. Par contre, si vous avez peur des serpents, comme ma belle-mère qui ne supporte même pas de les voir en images, cela risque de mettre un coup d’arrêt au jeu. Mais bon, nous avons de bonnes pelles (private joke) et nous avons pu continuer le jeu. Nous étions même assez à l’aise pour réclamer de l’aide lorsqu’on sentait que l’on perdait trop de temps (en même temps les indices qu’ils nous donnent sont généralement donnés juste après qu’on les ait trouvé). Et nous avons donc terminé à 2 minutes de la fin !  Nous sommes assez pressés de faire les deux autres salles.

EDIT 28/07/19 : Je ne pensais pas refaire un escape game aussi tôt. Il faut savoir que nous en avons fait 4 dans d’autres salles pendant le mois de mai (2 éphémères, un qui a fermé et un à Paris avec ma très chère Clow). Le thème du collectionneur de poupée me faisait plutôt flipper (vous savez la maison de poupée dans fort boyard). On arrive dans une ambiance assez noire. Moi qui suis assez peureuse c’est le max que je puisse faire. On ne voit rien du tout et il faut oser fouiller ! On attaque assez vite et on enchaine les 5 énigmes à une vitesse folle. Grâce aux 3 indices donnés par notre maître du jeu nous terminons en 44 minutes (le record est à 42 minutes). Nous pensions beaucoup plus bataillé sachant que seuls 30% des joueurs y parviennent. Cela nous donne envie d’aller nous frotter à la dernière salle! Avant d’aller tenter les nouveautés en réalité virtuelle.

Une fille comme elle

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QUATRIEME DE COUVERTURE : À New York, sur la 5e Avenue, s’élève un petit immeuble pas tout à fait comme les autres… Ses habitants sont très attachés à leur liftier, Deepak, chargé de faire fonctionner l’ascenseur mécanique, une véritable antiquité. Mais la vie de la joyeuse communauté se trouve chamboulée lorsque son collègue de nuit tombe dans l’escalier. Quand Sanji, le mystérieux neveu de Deepak, débarque en sauveur et endosse le costume de liftier, personne ne peut imaginer qu’il est à la tête d’une immense fortune à Bombay… Et encore moins Chloé, l’habitante du dernier étage.

Entrez au N° 12, Cinquième Avenue, traversez le hall, montez à bord de son antique ascenseur et demandez au liftier de vous embarquer… dans la plus délicieuse des comédies new yorkaises !

MON AVIS : Je suis très embêtée pour faire cette critique parce que des sentiments contradictoires se font ressentir. J’ai mis assez longtemps à me faire absorber par la lecture, le début étant très plat, les personnages quasi insipides… Mais pourtant quelque chose ressort de ce roman. Certains disent qu’il s’agit d’une des meilleures comédies romantiques… Clairement pas ! C’est un bon téléfilm pour les débuts d’après-midi sur M6 et c’est déjà pas mal. Seule la rencontre de Chloé et Sanji est un peu marquante et sympa. En fait, en lisant les commentaires d’autres personnes je comprends ce qui me dérange, c’est qu’en fait tout est prévisible. Il n’y a pas de réel rebondissement. Et je ne suis pas en train de rire ou pleurer. Ce n’était pas une mauvaise lecture mais d’habitude ses livres ont plus d’intérêt. Par contre, j’ai pu apprécié le fait que Lévy installe ses personnages dans l’Histoire en indiquant comment Chloé est devenue handicapée en fin de roman. Cela rend le personnage encore plus attachant et réel.

UNE FILLE COMME ELLE : ♥

Nicki Minaj – Barbie Dreams

Le début du clip est assez improbable et inattendu, clairement du genre à dérouter le public habituel de Nicki Minaj. Le reste n’est qu’une succession de différents looks de la rappeuse, l’occasion pour elle de sortir ses perruques les plus colorées. On a aussi droit sur certains plans à d’autres marionnettes comme celle de l’intro, mais on se demande vraiment d’où elles sortent et quel est leur intérêt dans ce clip. En fait, il ne se passe vraiment rien dans cette vidéo, c’est juste Nicki qui gigote et prend des poses toujours plus classes et naturelles sur un fond rose, violet ou bleu. La chanson en elle-même n’est pas trop mal, j’aime surtout le refrain, bien que très répétitif et peu recherché, mais je n’accroche vraiment pas aux 80 dernières secondes, qui auraient pu être utilisées comme piste de transition sur l’album, sur un morceau séparé. En résumé, vidéo très peu inspirée, autant s’abstenir de faire un clip si c’est pour proposer ce truc que n’importe qui peut faire chez soi. De jolies couleurs cependant.

Note :

Les lettres de mon moulin

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MON AVIS : Les lettres de mon moulin est un recueil de nouvelles d’Alphonse Daudet. Le titre fait référence au moulin Saint-Pierre à Fontvieille (Bouches-du-Rhône). C’est au cours de notre voyage dans le Sud l’année dernière que j’ai découvert que Mittéï s’est réapproprié l’œuvre en BD. Ne connaissant que « La chèvre de M. Seguin », j’avais trouvé l’idée très bonne de faire redécouvrir cet ouvrage aux plus jeunes (et moins jeunes) sous forme de BD. A l’époque, le prix m’avait clairement freiné (25€ pour une vingtaine d’histoires) car pour moi, une BD c’est 10€ max. Mais au final, nous y sommes retournés cet été pour revoir notre fameux moulin et pour récupérer cette magnifique BD que je viens enfin de terminer. J’ai pris le temps de tout savourer, regarder les images, essayer de me souvenir des histoires que je lisais. Certains titres me restent en tête, d’autres moins. Certaines histoires me plaisent et d’autres ne trouvent pas d’intérêt pour moi. L’avantage c’est qu’il s’agit de plusieurs petites histoires, donc si l’une ne nous plaît pas, il y a toutes les autres pour se rattraper. Moi j’ai aimé des histoires comme « La mule du Pape » ou « Le curé de Cucugnan » pour les petites morales. J’ai apprécié « Le sous-préfet aux champs » pour son côté bucolique. Par contre, les dernières histoires avec la mer, les marins, c’était moins ma tasse de thé. Et il y a quelques histoires où j’ai eu du mal  parce que je trouvais que ça se coupait comme un cheveux sur la soupe sans réel intérêt au final comme « Installation » ou « La diligence de Beaucaire ». Bref, j’étais ravie d’avoir acheté cette BD qui vaut vraiment le coup et qui me fait penser à la Provence, aux vacances et au bien-être. La BD permet d’être plus digeste qu’un conte plein de description.

LES LETTRES DE MON MOULIN : ♥♥♥

 

Ma grand-mère vous passe le bonjour

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Résumé : Elsa a sept ans, presque huit, et est très en avance sur son âge. Sa « différence » lui cause d’ailleurs pas mal de problèmes auprès des autres enfants. Mais elle peut compter sur sa mamie, avec qui elle vit de fabuleuses aventures dans un monde imaginaire composé de six royaumes. Hélas, le cancer emporte la grand-mère, qui a seulement le temps de confier une ultime mission très importante à Elsa : remettre une lettre à quelqu’un. Et c’est ainsi que débute le plus grand jeu de piste auquel la petite fille ait jamais participé, et au cours duquel elle va découvrir que tout n’est peut-être pas que fiction dans le monde imaginé par sa mamie…

Mon avis : C’est donc le deuxième roman de Fredrik Backman que je lis, et je l’ai préféré à « La vie selon Ove ». Il est à la fois drôle et touchant, il y a vraiment des passages qui peuvent mettre la larme à l’oeil. Le monde imaginaire d’Elsa et sa mamie est omniprésent, je crois que tous les chapitres contiennent au moins un paragraphe qui s’y réfère, mais heureusement c’est suffisamment bien dosé pour ne pas être trop lourd. J’ai bien aimé l’idée de donner à chaque chapitre un titre évoquant une odeur, et le fait que toutes ses odeurs soient de nouveau mentionnées à la toute fin. Le personnage d’Elsa est très attachant, et le fait qu’elle soit fan de tout un tas de héros que les enfants d’aujourd’hui adorent aussi ne fait que renforcer le réalisme de ce protagoniste. Cela vient contrebalancer le côté fantastique apporté par les croyances et la vision des choses de la fillette. Les autres personnages sont un peu caricaturaux, et on est en droit de se demander si ce ne serait pas tout simplement parce qu’ils sont vus par les yeux d’Elsa, bien que le récit soit à la troisième personne. C’est un livre très intéressant car le lecteur ne peut que se prendre au jeu de l’espèce de chasse au trésor menée par l’héroïne, afin de lever le voile sur les différents mystères de l’immeuble où elle vit, notamment concernant la véritable identité de ses occupants. Je recommande cette lecture, qui est tout sauf fade.

Note : ♥♥♥

Indochine – Song for a dream (clip)

 

MON AVIS : Ce 13 septembre sortait le tout nouveau clip d’Indochine. Song for a dream est une chanson puissante, dansante, joyeuse. Et le clip est au final bien plus « serein » que Station 13 mais raconte une histoire d’amour avec ses moments de bonheur, de doutes, de difficultés. C’est un clip qui passera très facilement à la télé, ce qui est déjà le cas puisque je l’ai vu l’autre matin et c’est comme ça que j’ai vu qu’il était enfin sorti. Cela va donc permettre à l’ensemble de la France de se rendre compte de la qualité de travail d’Indochine. Ce clip me donne juste envie de retourner à un concert – chose impossible puisque toutes les dates sont complètes et dans tous les cas, je ne suis pas en mesure de m’absenter pour aller y assister en semaine. Pour information, le prochain clip sera normalement « Gloria » qui est teasé par Nicola Sirkis. Et en vous écrivant, je constate qu’ils annoncent qu’un des concerts du 13 Tour à l’Accor Hotel Arena (Paris) sera retransmis en direct sur TMC en Novembre. Youpi !!!

13 Tour c’est :

  • Plus de 600 000 billets vendus en France, Belgique et Suisse.
  • Plus de 50 dates sold out dont 6 Accor Hotel Arena
  • Triple disque de platine (1 disque de platine au bout de 3 semaines)