Ne dites pas à ma mère que je suis voyante, elle me croit libraire à Vancouver

Quatrième de couverture : On dit souvent que l’amour rend aveugle. Pas dans le cas de Sophie Kintock, qui, après une rupture, se découvre un don de double vue jusque-là insoupçonné !

Quand Doug la quitte après six ans de vie commune, Sophie, libraire à Vancouver, est prête à tout pour le récupérer. C’est pourquoi, lorsqu’elle apprend que sa nouvelle petite amie, la pulpeuse Melanie, s’intéresse au paranormal, elle a une idée aussi folle que diabolique : proposer à sa rivale une fausse consultation de voyance destinée à faire rompre les tourtereaux. Mais rien ne va se passer comme prévu, car Sophie se retrouve vite dépassée par le succès inattendu de ses nouveaux talents… Eileen Cook signe une comédie désopilante portée par une héroïne au caractère bien trempé, maladroite et attachante à souhait.

MON AVIS : J’avais acheté ce livre il y a de nombreuses années uniquement à cause de la couverture dessinée par Pénélope Bagieu et le titre me faisait rire. Je faisais du tri dans mes livres, quand je suis retombée dessus. Et croyez le ou non, mais je crois que ça fait la troisième fois que je le relis parce que je n’ai strictement aucun souvenir de ce bouquin, à part la scène du début avec les chaussettes. Et je ne voulais pas m’en séparer sans avoir relu au moins une fois la fin. Je vous confirme que rien ne va me rester une fois de plus. Oui Sophie est marrante. On dirait une héroïne de Sophie Kinsella. Mais l’histoire d’amour est pas folle non plus. Le truc de fausse voyante est pas mal mais bon… un livre à lire quand on cherche un truc léger pour se changer les idées.

NE DITES PAS A MA MERE QUE JE SUIS VOYANTE ELLE ME CROIT LIBRAIRE A VANCOUVER : ❤️❤️

Drop dead diva

2009 – 2014 | 42 min | Comédie, Drame

Créée par Josh Berman

Avec Brooke Elliott, April Bowlby, Margaret Cho

Nationalité U.S.A.

Synopsis & Info

Deb Dobson, une « bimbo » de 24 ans est victime d’un accident de la circulation alors qu’elle se rend à une audition pour présenter l’émission de télévision « Le Juste Prix ». Elle prend directement le chemin du paradis et passe un « entretien » face à un employé de Saint-Pierre. Là, elle trouve le moyen de se faire renvoyer dans le monde des vivants, mais son âme vient se loger dans le corps de Jane Bingum, une brillante avocate, décédée quelques heures auparavant, qui affiche une taille 46 et un QI de 30 points supérieur à la moyenne. Tout d’abord choquée par ce changement, Deb va vite découvrir « la beauté intérieure » et ses nouvelles capacités.

MON AVIS : J’étais persuadée vous avoir parlé de cette série lors de notre calendrier de l’avent. Or, il n’en est visiblement pas le cas. J’ai découvert cette série il y a des années, par hasard, lorsque j’étais malade. Et depuis, à chaque arrêt maladie, je suis devant les épisodes qui repassent en boucle. J’ai fini par voir la fin de la série pendant mon congé maternité ! Mais je n’ai jamais réussi à voir les 5 premiers épisodes ! On peut donc tout à fait prendre en cours de route car même si on ne comprend pas tout le fil rouge, les épisodes traitent des affaires juridiques séparément. J’adore cette ambiance de tribunal et toujours abordé avec beaucoup d’humour. Je trouve tout ça très distrayant. Certes, l’histoire avec Grayson devient un peu lourde au final avec toutes ces péripéties. Mais mon coeur de rêveuse ne peut s’empêcher d’y croire à chaque fois. Petite lourdeur sur le fait de vouloir toujours faire des parties chantées et dansées mais ce ne sont que mes goûts. En attendant, je me matte les épisodes en boucle dès qu’ils passent ! Je me demande si j’aurais aimé Ally McBeal. Est-ce que quelqu’un a vu les deux séries ?

DROP DEAD DIVA : ♥♥♥♥

Écoutez-moi jusqu’à la fin

Résumé :

“Nous ne sommes que des somnambules. Vous voulez que je vous dise ? Je veux me réveiller.” Blandine Watkins est une jeune femme à part. Sa beauté éthérée et son intelligence aiguë dressent une barrière entre elle et les autres. Elle partage un appartement avec trois garçons qu’elle ne comprend ni n’apprécie, mais sur lesquels elle exerce une étrange fascination. Tous viennent de foyers brisés et tâtonnent pour trouver leur place dans le monde. Pour ne pas se blesser au contact des autres, Blandine se réfugie dans le mysticisme. Comment devenir adulte dans cette ville délabrée, dans ce monde qui n’a que faire des fragilités de la jeunesse ? Soudain, dans la chaleur de juillet et sous une pluie diluvienne, un geste de violence inexpliqué survient. Ce premier roman audacieux et plein d’humour dépeint avec sauvagerie le monde d’aujourd’hui, dans une langue hypnotisante qui crie la solitude, le désir et la soif de liberté.

Mon avis :

J’ai rien compris à ce livre. Enfin, c’est un peu exagéré d’écrire ça mais disons que je n’ai pas saisi l’intérêt de ce choix dans la forme alors qu’il aurait été possible de raconter la même histoire de façon plus simple, plus accessible, moins alambiquée. Il y a tout un tas de chapitres qui sont inutilement longs, globalement le roman est long pour pas grand chose. Ajoutez à tout cela que quasiment tous les personnages sont bizarres et que l’ensemble dégage quelque chose de dérangeant, c’est vraiment une lecture pénible et fastidieuse, que je n’ai pas appréciée. Donc je ne comprends pas les bonnes notes et avis positifs reçus par ce bouquin, ou alors je suis complètement passée à côté.

Note : Ø

Dreamland Billionaires – The fine print

Quatrième de couverture : Zahra a toujours adoré « Dreamland », le parc d’attractions emblématique de la famille Kane. Lorsqu’elle se laisse aller, sous l’effet de l’alcool, à critiquer l’une de leurs attractions les plus coûteuses, elle s’attend à être inévitablement licenciée. À son grand étonnement, le nouveau dirigeant, Rowan Kane, l’engage en tant que créatrice pour la repenser.
La déterminée et solaire Zahra se retrouve enfin à occuper le poste de ses rêves… mais sous les ordres du patron le plus exigeant qu’elle ait jamais rencontré ! Rowan…

MON AVIS  : Je recherche des histoires simples à lire et j’avoue que j’en ai marre de tourner avec les mêmes auteurs. Ma belle-soeur m’a conseillé ce bouquin parce que « histoire d’amour » + « parc d’attraction » ça allait forcément m’intéresser. J’ai accroché au livre dès le départ avec cette histoire de lettres écrites par le grand-père. J’ai adoré découvrir la passion naissante entre Zahra et Rowan. Oui, carrément une passion. Les décharges électriques à chaque fois qu’ils entrent en contact. L’attirance inévitable et inexplicable. Ensuite effectivement ça tourne à quelque chose d’interdit aux moins de 18 ans. Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà lu une histoire d’amour aussi crue (je n’ai pas lu 50 nuances de grey). Bien entendu j’ai adoré la partie parc d’attraction et ça me donne clairement envie d’y retourner. Et la fin est une happy ending comme on les aime. Je suis très pressée de lire le 2eme tome qui doit sortir très prochainement en français.

DREAMLAND BILLIONNAIRES : ❤️❤️❤️❤️

Un hiver pour s’écrire

Résumé :

S’écrire pour mieux s’aimer… L’hiver arrive dans le petit village de Porvenir et, avec lui, une mauvaise nouvelle : le bureau de poste va fermer. Comme partout, la technologie a pris le pas sur les lettres et les gens ne s’écrivent plus. Sara, mère célibataire de trois enfants, est la seule factrice du hameau. Elle s’apprête donc à quitter sa terre adorée pour la capitale. C’est compter sans la détermination de sa voisine et amie de quatre-vingts ans, Rosa, dont le coeur se brise à l’idée de son départ. La vieille dame concocte alors un plan pour sauver la poste de Sara en encourageant tous les habitants à se remettre à écrire des lettres ! Déclarations d’amour, règlements de comptes et secrets enfouis sont soudain couchés sur le papier, bouleversant d’émotion tous les villageois. Un roman charmant, qui nous parle du pouvoir des mots et des petits gestes qui apportent le bonheur dans nos vies.

Mon avis :

Au début, j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire car on alterne entre un chapitre consistant en une lettre et un chapitre présentant un nouveau personnage, et pendant le premier tiers du livre ça s’enchaîne comme ça sans revenir sur les protagonistes déjà évoqués. Mais ensuite une fois que tout le monde a été introduit, on découvre les liens existants ou nouvellement formés entre eux et cela devient plus intéressant. Néanmoins il ne se passe pas grand chose, si ce n’est des choses de la vie, et on a juste envie de finir sa lecture pour savoir si oui ou non la chaîne de lettres va réussir à sauver l’emploi de la factrice du village. Sympa mais sans plus.

Note : ♥♥

Ariana Grande – we can’t be friends (wait for your love)

Ce nouveau clip d’Ariana Grande s’inspire du film « Eternal Sunshine of the Spotless Mind », que je n’ai jamais vu, donc je ne sais pas dans quelle mesure on est plus sur des allusions, un hommage ou un copier-coller. Quoi qu’il en soit, je trouve cette vidéo très belle et très triste, est-ce que si suite à un gros chagrin d’amour vous aviez la possibilité d’effacer complètement et définitivement de votre mémoire la personne qui vous a fait souffrir, vous le feriez, sachant que ça supprimerait également tous les beaux souvenirs que vous aviez vécus ensemble ? La chanson est également fort sympathique, la musique me fait penser à de la pop suédoise, mais je ne comprends toujours pas (ce n’est pas la première fois que je le souligne) pourquoi avec la voix qu’elle a, la chanteuse se contente de morceaux dans lesquels elle minaude au lieu de véritablement mettre en avant ses talents de vocaliste. Je trouve Ariana toute mignonne ici, cela ne me fait pas du tout la même impression que son clip précédent. Je pense que c’est une de ses vidéos les plus réussies, si ce n’est la meilleure. Le nouvel album de l’artiste intitulé « eternal sunshine » (décidément…) vient de sortir en parallèle de ce single, je vous en parlerai bientôt.

♫ We can’t be friends
But I’d like to just pretend
You cling to your papers and pens
Wait until you like me again

Wait for your love
Lo-love, I’ll wait for your love
I’ll wait for your love
Lo-love, I’ll wait for your love ♫

Note : ♥♥♥♥

People or not people

Quatrième de couverture : Beth a vingt-six ans, travaille quatre-vingts heures par jour pour un patron odieux, et vit seule avec son chien hypoallergénique, depuis que son petit ami Cameron l’a plaquée pour un mannequin. Mais le jour où Pen, sa meilleure amie, lui annonce ses fiançailles, elle décide de passer un bon coup de Karcher dans sa vie et de commencer par… démissionner.
Et, finalement, les journées, vautrée sur son canapé à dévorer des tablettes de chocolat et des romans à l’eau de rose, lui conviennent bien mieux. Jusqu’au jour où Will, son oncle gay, bien décidé à la mettre au travail, lui trouve une place dans une boîte de R.P.
Terminées, les soirées pantoufles ou dîners tranquilles, entre copines! Place aux sorties branchées avec les VIP, aux nuits arrosées assorties de réveils difficiles.
Surtout quand on apprend ce qu’on a fait la veille, comme Beth, dans les gros titres d’un journal people…

MON AVIS : J’avoue qu’en réfléchissant, on a un peu un copié collé du Diable s’habille en Prada mais dans un autre monde que la mode. Alors certes on a pas de patron(ne) insupportable, enfin si au début. Mais en gros c’est une meuf normale qui arrive dans un monde avec des codes particuliers et qui tente de s’adapter. La relation avec Sammy est trop mignonne. En tout cas on retrouve exactement ce qu’on attend de la chick lit donc je suis plutôt satisfaite de ma lecture. Par contre on est pas sur de la grande littérature c’est certain.

PEOPLE OR NOT PEOPLE : ❤️❤️

Charli XCX – Von dutch

Cela fait combien d’années que je vous dis ici que cette fille est folle ? Après son album « Crash » plutôt radio friendly sorti il y a deux ans et sa participation cet été à la bande originale du film « Barbie », Charli XCX est de retour sans tambour ni trompette dans le style hyperpop qu’elle semble particulièrement affectionner. Comme souvent avec elle et ce genre musical, c’est un peu quitte ou double, on adore ou on déteste, car ça peut très vite paraître inaudible ou devenir irritant. La chanson est en plus très répétitive, et les paroles sont ironiques malgré elles car objectivement, parmi le grand public, qui connaît Charli ? Le clip est complètement dingue, normalement je n’aime pas cette façon de filmer qui donne mal à la tête ou la nausée et empêche de bien voir correctement quoi que ce soit. Mais ici je trouve le concept tellement WTF (et que dire de la pochette du single !) que ça en devient rigolo. Qui poursuit l’artiste et pour quelle raison ? Pourquoi Charli frappe-t-elle la personne qui la filme tout en étant elle-même blessée ? Pourquoi tout ceci a-t-il lieu dans un aéroport (au passage il s’agit de Roissy Charles De Gaulle, trop drôle d’avoir choisi un aéroport parisien pour tourner cette vidéo) ? Bref le visuel est aussi bordélique et désordonné que le morceau et apparemment cela annonce un futur album baptisée BRAT (ce qui signifie « sale gosse », je trouve que cette notion est très bien illustrée ici). Hâte de pouvoir écouter ça !

♫ I’m just living that life
Von Dutch, cult classic, but I still pop
I get money, you get mad because the bank’s shut
Yeah, I know your little secret, put your hands up
It’s so obvious I’m your number one, life
Von Dutch, cult classic in your eardrums
Why you lying? You won’t fuck unless he’s famous
Do that littlе dance, without it, you’d be namelеss
It’s so obvious I’m your number one

I’m your number one, I’m your number one
I’m your number one, yeah, it’s so obvious
I’m your number one, I’m your number one
I’m your number one, yeah, it’s so obvious ♫

Note : ♥♥

L’homme du Grand Hôtel

Résumé :

Et si vous vous réveilliez un beau matin en ne sachant rien de votre propre vie ? Cape Cod, Massachusetts. Écrivain mondialement célèbre, Randall Hamilton se réveille dans la chambre d’un hôtel luxueux avec vue sur l’océan. Le problème, c’est qu’il ignore totalement pourquoi il s’y trouve et comment même il est arrivé là. Pire, il semble avoir tout oublié de sa propre existence, y compris le fait qu’il est l’auteur de plus de quarante romans. Boston, Massachusetts. Vivant de petits boulots, le jeune Andy Marzano passe tout son temps libre à écrire des romans dans son studio. La tête pleine de rêves de gloire et de reconnaissance, il collectionne surtout les lettres de refus des agents littéraires. Conscient de son cruel manque d’inspiration, Andy s’ingénie à piller la vie de son entourage. Mais un jour il franchit la ligne rouge en séduisant une jeune comédienne, Abigaël, dans le seul but de se nourrir de leur relation et de servir son ambition. En voulant diriger les autres comme de simples personnages, il s’apprête à provoquer des drames irréparables… Un auteur couronné de succès, un apprenti écrivain miné par les échecs : les deux hommes ignorent tout l’un de l’autre. Pourtant, leurs destins sont inexorablement liés et leurs routes ne tarderont pas à se croiser. Pour le meilleur, et surtout pour le pire. Avec ce dixième livre, Valentin Musso nous dévoile un roman à la construction diabolique et au dénouement vertigineux.

Mon avis :

J’ai bien aimé ce livre, même si je me suis assez vite doutée (au moins en partie) du lien existant entre Randall et Andy. L’intrigue était intéressante à suivre, toutefois je ne suis pas certaine que j’en garderai un très grand souvenir car je n’ai rien décelé dedans de particulièrement incroyable qui le rendrait mémorable. Du coup, le côté « roman à la construction diabolique et au dénouement vertigineux » vanté par la quatrième de couverture est un peu trop complaisant. Mais ça reste une lecture super agréable.

Note : ♥♥