Les enquêtes de Setna

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Résumé : Setna est le fils cadet de Ramsès. Scribe et ritualiste du dieu Ptah, son caractère est à l’opposé de celui de son aîné, le général Ramésou. Les deux frères ont toutefois un point commun : ils tombent amoureux de la même jeune fille, la belle Sékhet, thérapeute douée et initiée aux mystères de la déesse-lionne Sekhmet. Le jour où le vase sacré d’Osiris est dérobé, alors qu’il se trouvait dans une tombe réputée inviolable, de sombres jours s’annoncent en Égypte : qui est le puissant mage noir qui a réussi à s’emparer de ce trésor dont les pouvoirs pourraient faire basculer le pays dans le chaos ? Setna, Sékhet et leurs nombreux alliés s’engagent dans un périlleux combat où la magie est omniprésente.

Mon avis : J’ai beaucoup aimé cette petite saga qui fait voyager dans le temps et géographiquement. L’Antiquité est une période qui m’a toujours intéressée et ce contexte a contribué à me faire apprécier ces quatre romans. Comme j’ai lu les quatre tomes à la suite, j’ai trouvé le début de chacun, à partir du deuxième, redondant, dans le sens où l’auteur se sent obligé de rappeler au cours des premiers chapitres qui est qui et fait quoi. Si l’ensemble reste très intéressant et dépaysant, il manque un peu de suspense et certaines péripéties se ressemblent. Au-delà des passages où la magie entre en action, les descriptions permettent de se rendre compte, au cas où on l’ignorerait encore, que la civilisation égyptienne était très évoluée.

Note : ♥♥♥

 

Star wars 8 : Les derniers Jedi

Star Wars - Les Derniers Jedi : Affiche
Date de sortie 13 décembre 2017 (2h 32min)
Nationalité Américain

SYNOPSIS ET DÉTAILS

Les héros du Réveil de la force rejoignent les figures légendaires de la galaxie dans une aventure épique qui révèle des secrets ancestraux sur la Force et entraîne de surprenantes révélations sur le passé…
Titre original : Star Wars: The Last Jedi
MON AVIS : Cette fois-ci, nous nous y sommes pris un peu plus tôt que pour le 7 mais nous voulions absolument éviter la foule – nous devenons de plus en plus sauvages avec le temps. C’est donc hier soir que nous sommes allés voir le nouveau Star Wars dans une petite salle de campagne. Les critiques sont très mauvaises m’a-t-on dit. J’y allais donc plus pour faire plaisir et histoire de faire une sortie. Je voulais plutôt voir Coco, mais j’attendrais le DVD. L’inconvénient pour moi, c’est que le film sort deux ans après le premier de la saga. Donc, je ne me souviens plus trop de grand chose. Malgré tout, l’histoire est compréhensible. Et j’y vais vraiment en me détachant du passé et sans aucune attente à part voir de l’action et des effets spéciaux. Clairement, sur ce point, tout est réussi. Les paysages sont magnifiques et l’histoire est prenante. Seul le mal de dos nous rappelle qu’on est restés assis pendant 2h30 sans bouger. Personnellement, je suis clairement plus attachée à ces deux derniers Star Wars que je trouve plus « légers », en tout cas, plus simples à comprendre et on en a pour notre argent en rebondissements et histoires. On s’est vraiment laissés happés, tout comme les critiques presse au final. J’ai même regardé le film avec un sentiment particulier en voyant Carrie Fisher. Ca a véritablement donné une autre dimension à mon regard. Même une scène tout bonnement ridicule a eu un goût particulier – attention, mon but n’est jamais de spoiler lors de mes critiques, vous allez donc devoir comprendre tout seul. Donc, vous l’aurez compris, pour moi, c’est un très bon Star Wars qui m’offre exactement ce que je recherche. Maintenant, je voudrais vous montrer une critique d’un fan qui lui a plus la vision globale par rapport aux précédents et avec lequel je suis malgré tout obligée d’être d’accord. Bah, oui, c’est pas parce que j’ai aimé et que je ne comprends pas que l’on puisse, à l’inverse, détester. Parce que quand on prend les choses à froid, on peut voir effectivement des problèmes dans le scénario. C’est comme quand l’Odieux Connard critique 50 nuances de Grey ou Twilight qui sont des films que j’ai aimé mais que j’adore tout autant ses critiques car elles sont justes. En gros, j’ai pas besoin que le scénario tienne debout pour aimer un film. D’ailleurs, je finirai sur la critique écrite par l’Odieux Connard parce que clairement, ce mec me fait mourir de rire. En fait, je suis super bon public ! Je viens de vous dire tout et son contraire dans le même article mais j’ai aimé les deux visions des choses. En gros, n’écoutez personne si vous avez envie de le voir. Prenez le pour ce qu’il est vraiment : de la baston entre gentils et méchants avec forcément une happy ending.
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STAR WARS : LES DERNIERS JEDI : ♥♥♥

Spy

Spy : Affiche

Date de sortie 17 juin 2015 (2h 00min)
Nationalité américain

 

Synopsis et détails

Susan Cooper est une modeste et discrète analyste au siège de la CIA. Héroïne méconnue, elle assiste à distance l’un des meilleurs espions de l’agence, Bradley Fine, dans ses missions les plus périlleuses. Lorsque Fine disparaît et que la couverture d’un autre agent est compromise, Susan se porte volontaire pour infiltrer le redoutable univers des marchands d’armes et tenter d’éviter une attaque nucléaire… (source : allocine.fr)

Mon avis : Lorsque TF1 a proposé ce film un dimanche soir, je me suis dis tiens, pourquoi pas, je ne le connais pas et il y a Jude Law dedans. J’avais juste vu plusieurs fois les affiches dans le métro lorsqu’il est sorti au cinéma mais sans que cela ne suscite plus que ça mon intérêt. Alors déjà, merci à la publicité mensongère et limite irrespectueuse de la première chaîne qui présente le long-métrage en annonçant « Spy, avec Jude Law et Jason Statham » sans mentionner Melissa McCarthy alors que cette dernière est juste l’héroïne qu’on voit dans quasi toutes les scènes et qui ferait presque passer les rôles des deux hommes pour de la figuration. En effet, on voit très peu Jude Law au final, donc gare à la déception si vous regardez ce film uniquement pour lui. L’histoire en elle-même est en revanche plutôt sympa, à condition d’apprécier les scénarios loufoques, peu crédibles et légèrement vulgaires. Ça part souvent dans tous les sens, mais au moins on ne s’ennuie pas. J’ai beaucoup aimé la bande son parce que j’avais l’impression d’écouter mon iPod. J’ai halluciné quand j’ai vu que Verka Serduchka, qui a fini deuxième du concours Eurovision 2007 en représentant l’Ukraine, faisait une petite apparition. C’est loin d’être un grand film, mais il peut faire l’affaire pour passer un moment sympa sans prise de tête.

Note : ♥♥

Miss Peregrine et les enfants particuliers

Miss Peregrine et les enfants particuliers : Affiche

 

Synopsis et détails

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

À la mort de son grand-père, Jacob découvre les indices et l’existence d’un monde mystérieux qui le mène dans un lieu magique : la Maison de Miss Peregrine pour Enfants Particuliers. Mais le mystère et le danger s’amplifient quand il apprend à connaître les résidents, leurs étranges pouvoirs …  et leurs puissants ennemis. Finalement, Jacob découvre que seule sa propre « particularité » peut sauver ses nouveaux amis. (source : allocine.fr)

 

Mon avis : C’est du pur Tim Burton, c’est-à-dire du fantastique un peu creepy non dépourvu d’action ni d’humour. J’ai trouvé les premières minutes du film un peu longues, l’histoire a vraiment commencé à me captiver lors de l’arrivée de Miss Peregrine. D’ailleurs, il ne faut pas se fier au titre, car même si elle a bien sûr un rôle très important dans l’intrigue, elle n’est pas à proprement parler l’héroïne du film. Les différents enfants sont plutôt attachants, l’idée d’une sorte de pensionnat réservé aux gamins qui ont des pouvoirs est sympa bien que peu originale. Néanmoins, une fois qu’on entre dans le vif du sujet, on ne s’ennuie pas, et il y a plusieurs scènes d’action remplies d’effets spéciaux. Un bon divertissement mais je ne pense pas que ce soit le meilleur film de Tim Burton (mais on peut saluer le fait que pour une fois, il n’a pas pris ses acteurs fétiches).

Note : ♥♥

La Cloche de détresse

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Résumé : Dans les années 1950, Esther Greenwood est une brillante étudiante de dix-neuf ans qui a l’opportunité de passer un mois à New York parce qu’elle a gagné un concours organisé par un magazine. Si elle vit différentes expériences au cours de ce séjour, son retour chez sa mère ne se passe pas très bien, car elle tombe rapidement en dépression et finit par avoir des envies suicidaires. Elle va donc devoir être traitée pour tenter de guérir des troubles auxquels elle fait face.

Mon avis : Comme on peut s’en douter à la lecture du résumé, ce roman n’est pas le plus gai qui soit. Néanmoins, je l’ai lu plutôt rapidement, et je suis loin de l’avoir trouvé inintéressant. Je le juge par contre un petit peu décousu, les premiers chapitres qui se passent à New York pourraient être lus dans n’importe quel ordre, et puis dès que l’héroïne retourne au bercail, le ton change assez radicalement et on la voit dériver vers la folie dépressive à tendance suicidaire. La lecture est immersive, et le traitement que subit la jeune femme fait froid dans le dos. La fin est ouverte, on ne sait pas si Esther s’en sort. Mais comme elle partage de nombreux points communs avec l’auteure, on peut imaginer le pire… En effet, à la fin du roman se trouve une rapide biographie de Sylvia Plath dans laquelle on constate les similitudes de parcours, sauf que cette dernière finira par mettre fin à ses jours à l’âge de 31 ans, ce qui fait de « La Cloche de détresse » son unique roman.

Note : ♥♥

Brice 3

Brice 3 : Affiche

Date de sortie 19 octobre 2016 (1h 35min)
Genre Comédie
Nationalité français

 

Synopsis et détails

Brice est de retour. Le monde a changé, mais pas lui. Quand son meilleur ami, Marius, l’appelle à l’aide, il part dans une grande aventure à l’autre bout du monde… Les voyages forment la « jaunesse » mais restera-t-il le roi de la casse ? (source : allocine.fr)

 

Mon avis : Si mes souvenirs sont bons, je crois que j’étais en seconde quand j’ai vu en DVD « Brice de Nice ». C’est un film que je trouvais drôle, peut-être en partie parce que j’étais plus jeune, mais même avec le recul, je le considère plus comme une sorte de gros délire un peu parodique que comme un navet, avec quelques bonnes idées. Par curiosité, je me suis dit que j’allais donner sa chance à la suite, « Brice 3 ». Je crois que le fait de passer directement au 3 parce que Brice a cassé le 2, c’est le truc le plus drôle autour de ce film, c’est vous dire le niveau… Économisez 1h30 de votre vie en ne regardant pas cette « comédie » qui n’en est pas une tellement elle est navrante. Déjà, on commence avec une resucée des gags du premier opus, destinée à nous montrer que si le temps a passé, Brice lui est resté le même. Et après, ça part dans du grand n’importe quoi, il y a même des passages chantés ou en animé japonais à la Dragon Ball… Le tout ressemble plus à un gros kiff perso que Jean Dujardin aurait tourné pour s’amuser avec ses potes, mais difficile d’y faire adhérer le spectateur tant c’est nul. Je ne vais pas dire que je suis déçue car je ne m’attendais à rien, mais clairement « Brice de Nice » passe presque pour un chef-d’œuvre à côté, donc je crois que ça donne une bonne idée de ce qu’est ce « Brice 3 ».

Note : Ø

Coco

Coco : Affiche

 

Synopsis et détails

Depuis déjà plusieurs générations, la musique est bannie dans la famille de Miguel. Un vrai déchirement pour le jeune garçon dont le rêve ultime est de devenir un musicien aussi accompli que son idole, Ernesto de la Cruz.
Bien décidé à prouver son talent, Miguel, par un étrange concours de circonstances, se retrouve propulsé dans un endroit aussi étonnant que coloré : le Pays des Morts. Là, il se lie d’amitié avec Hector, un gentil garçon mais un peu filou sur les bords. Ensemble, ils vont accomplir un voyage extraordinaire qui leur révèlera la véritable histoire qui se cache derrière celle de la famille de Miguel… (source : allocine.fr)

 

Mon avis : Si j’ai vraiment apprécié ce dessin animé, je l’ai trouvé assez singulier et atypique. J’aime l’idée qu’il soit profondément ancré dans une culture bien spécifique, c’est dépaysant et ça permet de voyager depuis son siège, sans empêcher pour autant de s’identifier aux personnages, car la famille, c’est je pense un sujet qui parle à tout le monde. Par contre, le fait que la mort soit également un thème central de l’intrigue… Dans l’ensemble ce n’est pas super réjouissant, ce n’est donc pas un film que personnellement je regarderais en boucle ou pour me remonter le moral. C’est aussi pour cela que je trouve « Coco » à part, parce qu’il aborde un sujet tout sauf anodin, même si bien sûr il est traité de façon à ce qu’on n’ait pas envie de se pendre à la fin. J’ai quand même un doute sur le fait de le sortir en tant que Disney de Noël, malgré le côté « la famille c’est super important » qui en ressort. Mis à part cela, visuellement c’est toujours autant l’éclate, et l’omniprésence de musiques/chansons m’a enthousiasmée. J’aurais juste préféré ne pas pleurer à la fin.

Note : ♥♥♥

EDIT ORACLE 10/07/18 : Ca y est ! Je l’ai vu ! J’en parlais depuis sa sortie mais dorénavant les Disney c’est en DVD que je les vois… Sauf si quelqu’un veut venir les voir au ciné avec moi – comme c’est censé être le cas pour les Indestructibles 2. J’étais prévenue avec la critique de Clow : c’est un dessin animé plus que triste. Tout est fait pour être bon enfant, pour transporter dans un autre monde. On ne rigole pas franchement, mais on passe un très agréable moment. Il y a une telle imagination, un tel univers ! Je vous le conseille très fortement. Par contre, sortez les mouchoirs, ça promet de vous tirer les larmes.

COCO : ♥♥♥♥

Katy Perry – Hey Hey Hey

Décidément, Katy Perry semble aimer la France ! Peut-être parce que c’est l’un des rares pays où ses derniers singles n’ont pas trop méchamment floppé ? Ce clip n’est clairement pas le meilleur de la carrière de la chanteuse, néanmoins, je salue l’effort de proposer un quatrième single malgré le peu de succès de l’ère « Witness » et de l’illustrer par une vidéo qui a quand même dû demander un certain budget, de ce point de vue-là on ne peut rien reprocher à l’artiste. Ce qui me dérange un peu dans ce clip c’est qu’il y a de bonnes mais aussi d’assez mauvaises idées. J’ai du mal à reconnaître Katy quand elle est grimée en Marie-Antoinette, dans la première partie de la vidéo j’ai même l’impression de voir Christina Aguilera. J’aime bien les petits clins d’œil à la pop culture et les anachronismes ne me gênent pas plus que ça. Je trouve certains passages too much, comme par exemple le combat entre Katy Jeanne d’Arc et le Prince en mode jeu vidéo, c’est kitschissime mais pas forcément dans le bon sens du terme, ou encore la tête coupée qui continue à parler. Qu’on soit lassé du côté enfantin et rigolo qu’ont souvent les clips de Katy Perry ou non, pour moi elle garde ses lettres de noblesse de reine du clip (oui c’est bien trouvé je sais) dans le sens où une fois encore, elle nous gratifie d’un visuel léché, avec des décors et des tenues magnifiques, et même si elle n’est pas très recherchée ni originale, d’une petite histoire. Et j’aime bien le cadre proposé. Je suis peut être trop bon public quand il s’agit de Katy, elle me fait perdre la tête ^^

Note : ♥♥♥

Mignonne, allons voir si la rose …

Bonjour, bonjour,

Nous sommes le 24 décembre et aujourd’hui, je ne vous parle pas de Noël, non, mais je vous fais rêver en pensant au printemps, aux fleurs… Aux rosiers en fait !

J’ai toujours aimé les roses. Mais on en a jamais eu à la maison. En même temps, on a jamais eu aucune fleur, à part des boutons d’or dans notre pré en bas de la maison. Et puis, j’ai fait ma vie et mon homme avait dans son terrain, un rosier qu’on lui avait offert. Il l’avait planté au beau milieu du pré. Et puis, un jour, on a commencé à mettre un peu en forme notre extérieur. On a créé des bordures vers notre garage. On a tout de suite eu l’idée de faire un massif de rosiers. On a donc ouvert notre Truffaut et là, on s’est inspiré. On a choisi en fonction de nos coups de coeur, de différentes couleurs… Et je voulais aujourd’hui revenir sur cette expérience avec vous.

Tout d’abord, il faut savoir qu’il existe différentes formes de roses, mais également différentes sortes de rosiers. En plus de cela, on se rend compte que les rosiers n’ont pas tous la même hauteur, ni la même largeur. Si ce n’était pas suffisant, il faut aussi prendre en considération l’exposition au soleil. Comme je vous le disais, au départ nous souhaitions faire un nuancier de couleur. Nous avons donc choisi nos fleurs en fonction de leurs couleurs. Mais nous n’avons malheureusement pas tenu compte de leurs tailles futures.  Nous avons donc de petits rosiers à côté de grands, etc… Mais ces fleurs, je les ai choisi avec amour. Je ne regrette donc quasiment rien !

Nous avons planté nos rosiers en Novembre, car « à la Sainte Catherine, tout arbre prend racine ». Il faut par contre savoir que pour la vente de roses dans le commerce, il s’agit de la fin de la saison et donc il y a beaucoup moins de choix selon les professionnels du secteur.

Les rosiers étaient au départ dans des pots que nous avons baigné pour libérer plus facilement la plante. Pour les planter, nous avons utilisé du terreau spécial rosiers mélangé à de la terre de jardin, nous avons fait un trou qui était assez grand pour accueillir le rosier. Une fois le rosier mis en terre, il a fallu bien tasser la terre autour du pied, et nous avons bien arrosé pour évacuer l’air restant. Faisons maintenant le point sur nos rosiers :

Quand on arrive vers notre garage, nous sommes accueillis par le rosier « Fête des mères » que nous avions déjà. Ce rosier est plutôt rouge teinté de blanc. Il donne énormément de petites fleurs. Comme son nom l’indique, il fleurit au moment de la fête des mères, et donne des fleurs jusqu’au mois de novembre.

Image associée

A ses côtés, nous avons installé un petit lot de rosiers qui n’en forme qu’un seul et qui m’a été offert par mon amoureux au départ en pot. Les roses étant jaunes, ce rosier a pris le doux nom de « Jaune Cocu ». Le fait est que je me moque, mais les fleurs étaient magnifiques. Cependant, je pense qu’il n’a pas apprécié la grêle et depuis ne fournit plus aucune rose digne de ce nom.

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Ensuite, vient « Laetitia Casta ». J’ai apprécié cette couleur sublime mais surtout elle a une forme que j’apprécie particulièrement. Le fait est que même aujourd’hui, ce rosier n’a pas vraiment fonctionné à la maison et il est chétif. Malgré tout, ses quelques roses offertes sont toujours un ravissement.

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Nous avons également choisi « Léo Ferré » qui n’était pas dans la sélection initiale mais qui est également sublime. J’apprécie beaucoup les fleurs qui ont deux couleurs. Elle ressemble presque à « Laetitia Casta », c’est pour cela qu’on les a mis à côté. Ce rosier n’est pas bien haut pour le moment, mais je vous garantis que c’est l’un des rosiers qui nous fournit le plus en fleurs. Il tarde un peu à fleurir par rapport aux autres, mais fleurit plus longtemps après la fin de la floraison des autres variétés.

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Puis vient un choix véritablement par défaut. Il s’agissait du dernier rosier à trouver, les autres étant tous décidés, et je ne trouvais pas ceux que j’avais prévu. J’ai donc tout de même sélectionné un rosier dont la forme me convenait et pour lequel la couleur se rapprochait de mon critère de choix. Il s’agit de « Pink Paradise ». Très feuillu, pour l’instant j’ai très peu de roses ou tardivement.

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Ensuite, il me fallait une rose assez pure. Si encore une fois, je n’ai pas pris mon choix de départ, j’ai flashé sur cette fleur qui avait un certain cachet. Je crois qu’au final, il s’agit de mon rosier préféré même s’il est plus neutre que les autres. Les roses sont d’une élégance inouïe. Le rosier est immense, les fleurs prolifèrent. C’est vraiment l’un des plus beaux de la sélection. Il s’appelle « Prince Jardinier »

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Il me fallait impérativement un rosier blanc pour compléter tout ce choix par rapport à ma grand-mère qui me chantait « les Roses Blanches ». Après avoir hésité entre plusieurs, nous avons choisi d’installer notre « Annapurna » qui au départ avait mauvaise mine. On ne donnait pas cher de ce petit rosier, et au final, il trône parfaitement bien dans notre petite composition. Les fleurs arrivent par dizaines.

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En feuilletant le Truffaut, la suivante a été mon coup de coeur. J’étais véritablement persuadée que je ne pourrais pas l’avoir mais vraiment c’était celle qui m’a le plus plu. C’était LA rose quoi ! Alors ça peut vous paraître redonnant par rapport à « Laetitia Casta » ou « Léo Ferré » mais j’ai vraiment craqué. Il me fallait « Monica Bellucci ». Et vous n’arriverez pas à me croire en vous disant que c’est le premier rosier que j’ai trouvé au cours de ma recherche. Au final, les fleurs sont très belles, mais une fois que la fleur est totalement ouverte, cela change complètement la fleur. Malgré tout, cela reste un magnifique rosier.

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Si le rosier blanc était une évidence, le rosier rouge l’était encore plus. Et là le choix était immense tant cette couleur est répandue. Nous avons porté notre choix sur « Marcel Pagnol ». Il reste plus petit qu' »Annapurna » mais fait tout autant de fleurs. Les couleurs passent de rouge étincelant à rouge sombre presque noir. C’est tout simplement sublime.

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Et enfin, nous avons terminé par un rosier que nous avons longuement cherché. J’aurais vraiment été déçue de ne pas l’avoir. La couleur est exceptionnelle et au départ, elle était prévue en rosier normal, mais nous l’avons trouvé en rosier grimpant (qui devait être rouge mais bon). Le rendu est magnifique contre le mur. Je conseille vraiment cette rose-là.

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Au final, chacune de ces roses me plaît séparément, nous n’avons simplement pas réfléchi aux tailles de rosiers ce qui fait que le rendu final n’est pas très maîtrisé. Malheureusement, je ne peux pas planter des rosiers partout autour de la maison, mais qui sait, nous allons peut-être faire quelques aménagements extérieurs et je pourrais alors chercher les rosiers qui étaient dans ma sélection initiale à savoir :

  • André le nôtre (remplacé par Prince Jardinier) :Résultat de recherche d'images pour "rosier andré le nôtre"
  • Elle (remplacé par Pink Paradise) :Résultat de recherche d'images pour "rosier elle"
  • Arthur Rimbaud (remplacé par Léo Ferré) :Résultat de recherche d'images pour "arthur rimbaud rosier"

Je vous avoue que je regrette énormément Arthur Rimbaud, le seul qui n’a pas véritablement eu son pendant dans notre sélection finale. Mais on verra si à l’avenir on ne fait pas une nouvelle plantation mais on attend encore un peu car les extérieurs ne sont pas terminés.

Avant de terminer, je fais simplement un petit point sur l’entretien. Pour le moment, nous avons décidé de pailler nos rosiers avec des écorces. Sur Internet, certains ne le conseillaient pas car cela avait fait mourir les leurs. Nous, ça a vraiment tenu et a permis de protéger nos plantations du froid et du chaud. Cela a aussi aidé à limiter les mauvaises herbes, même si à cause du vent, les écorces ont eu tendance à se déplacer et donc, nous avons quelques endroits où l’herbe revient. Mais un petit moment permet de tout arracher facilement. Au niveau de la taille des rosiers, nous n’avons pour le moment rien fait parce que nous n’avons pas compris véritablement ce que l’on devait faire. Mais je pense qu’il va falloir s’y pencher pour rétablir un peu de l’ordre dans les rosiers qui ont le plus gagné. On ne sait pas si dans les années à venir on ne décide pas de se séparer des rosiers qui donnent moins. Mais pour le moment, nous sommes heureux de notre expérience.

Si vous voulez des rosiers, le principal est donc de bien s’en occuper, notamment la première année où l’arrosage doit être régulier. Le premier hiver est primordial pour la longévité de ces petites bêtes.

Guess My Age

Bonjour ! Aujourd’hui, nous sommes le 23 décembre et on va vous parler d’un jeu télé relativement récent et original, Guess My Age !

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L’avis d’Oracle : Un jour j’ai zappé et je suis tombée sur cette émission. Au final ce n’est pas un truc qu’on suit mais plus que l’on regarde lorsqu’on y tombe en zappant (généralement quand on attend le CFC, rendez-vous obligatoire du dimanche soir pour monsieur). Déjà je n’aime pas particulièrement Jean-Luc Lemoine dont je trouve l’humour grinçant. Mais par contre le concept de l’émission me plaît beaucoup. Ça change un peu des questions réponses. La on se teste pour donner un âge à des gens. Au niveau des indices je trouve la plupart très intéressants car ils permettent de se tester un peu sur les dates des chansons ou films etc… Je trouve un peu nul le zoom mais je ne vois pas ce que j’aurais mis à la place.

L’avis de Clow : J’aime beaucoup cette émission, même si je ne l’ai jamais suivie avec assiduité. J’aime bien Jean-Luc Lemoine, à l’époque où je regardais « Touche Pas à Mon Poste » je trouvais que c’était un des seuls, si ce n’est le seul, à être drôle de façon assez subtile, là où tous les autres faisaient rire parce que ridicules ou ridiculisés. Je suis même allée le voir en spectacle il y a quelques années et j’ai bien ri. Mais en tant qu’animateur, je ne sais pas, j’ai du mal à le trouver très à l’aise. J’ai l’impression qu’il aimerait mieux improviser là où de toute évidence on lui fait lire un prompteur. Ce qui me plaît dans « Guess My Age », c’est tout d’abord le fait qu’il s’agisse d’un concept français. Je ne dis pas ça par chauvinisme, mais pour une fois qu’on échappe à l’adaptation d’un énième programme étranger, et que la France prouve qu’elle est capable d’innover, c’est une bonne chose qui mérite d’être soulignée. Et en plus, il a été exporté dans d’autres pays. Ensuite, j’apprécie l’originalité du principe, même si à première vue il peut paraître un peu aléatoire. En effet, comment se préparer concrètement à une émission où on doit deviner l’âge de personnes qu’on n’a jamais vues ? Il fait partie de ces jeux où jamais personne ne gagne la somme maximale mise en jeu (100 000 €) et où la plupart des candidats ne repartent qu’avec 500 € voire rien du tout. Car c’est bien là le problème : le duo de participants doit deviner l’âge de six inconnus. Leurs estimations pour les cinq premiers conditionnent le montant final de leur cagnotte, chaque année d’écart entre leur réponse et la réalité leur faisant perdre de plus en plus d’argent plus on avance dans le jeu. Néanmoins, s’ils réussissent à tomber sur l’âge exact, ils emportent 500 € qu’ils ne peuvent en aucun cas perdre. Après quoi, ils ont quatre chances de trouver l’âge de la dernière personne, le montant de la cagnotte étant divisé par deux à chaque tentative. S’ils échouent à l’issue de leur dernière proposition, les candidats repartent les mains vides, sauf s’ils ont trouvé un ou plusieurs âges exacts lors des manches précédentes.

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Sous la houlette de Jean-Luc Lemoine, il faut impérativement tomber pile sur l’âge de l’inconnu en finale pour gagner !

C’est toujours amusant d’entendre les remarques et arguments des participants qui expliquent pourquoi ils pensent que l’homme ou la femme en face d’eux à tel âge. D’autant plus qu’ils doivent se concerter avant de valider leur réponse et il arrive qu’ils ne soient pas d’accord. Afin de les aider eux, ainsi que les téléspectateurs, des indices sont disponibles, mais utilisables une seule fois chacun. Il s’agit par exemple de découvrir l’identité d’une célébrité née la même année que l’inconnu, ou encore d’un souvenir évoqué directement (mais sans donner de date précise bien sûr) par la personne elle-même. J’aime le fait qu’on peut apprendre des choses via cette émission, ou tout simplement réviser sa culture générale. Parfois, on est étonné de découvrir que ce dont on était persuadé s’avère en réalité faux. De même, la révélation de l’âge de certaines personnes est très surprenante. De temps en temps, on se dit aussi que la production n’est pas sympa quand elle envoie des inconnus qui pourraient tout aussi bien avoir 18 que 38 ans (j’ai le souvenir précis d’un homme d’origine asiatique dont c’était le cas). Je pense que c’est le genre d’émission pour laquelle il faut bien choisir son binôme si on souhaite y participer, afin de mettre toutes les chances de son côté, par exemple prendre quelqu’un de bon en histoire si on est plus branché culture afin d’optimiser l’utilisation des indices, ou peut-être quelqu’un avec qui on a une différence d’âge significative pour éviter qu’un des indices ne nous parle absolument pas. En tout cas, c’est un jeu loin d’être évident et pour lequel avoir des connaissances n’est pas du luxe.

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Des éditions où des célébrités jouent pour des associations ont également été diffusées, comme par exemple ici avec Vincent Niclo et Joyce Jonathan