Tout le monde debout

Tout le Monde Debout : Affiche

Date de sortie 14 mars 2018 (1h 49min)
Nationalité français

 

Synopsis et détails

Jocelyn, homme d’affaire en pleine réussite, est un dragueur et un menteur invétéré. Lassé d’être lui-même, il se retrouve malgré lui à séduire une jeune et jolie femme en se faisant passer pour un handicapé. Jusqu’au jour où elle lui présente sa sœur elle-même handicapée… (source : allocine.fr)

 

Mon avis : Tant qu’Alexandra Lamy n’est pas entrée en scène, on se dit que Franck Dubosc n’est décidément bon qu’à jouer des rôles de beaufs et/ou de dragueurs invétérés. La crainte qu’on peut avoir avant de visionner ce film, c’est la façon dont va être traité le handicap, surtout en sachant qu’il s’agit d’une comédie écrite par Franck Dubosc, qui a une étiquette d’amuseur public un peu lourdingue pour pas mal de monde. Alors bien sûr, ce serait plus intéressant de demander leur avis à des personnes handicapées, elles seraient plus à même de juger si le film est bienveillant, caricatural, maladroit… Pour ma part, je l’ai trouvé juste. Le personnage de Jocelyn qui prétend être handicapé passe pour un pauvre type aux yeux de tous, et Florence, interprétée par Alexandra Lamy, prouve que si la volonté est là, on peut avoir une vie riche en activités, des amis, être belle et coquette, tout en ayant du recul et un peu d’auto-dérision sur son handicap. Je ne dis pas que c’est ce que toutes les personnes en fauteuil devraient faire, chacun a sa propre histoire, mais en tout cas c’est un film qui inspire de l’espoir. Et certaines répliques sont vraiment marrantes, et quelques situations bien cocasses. On est bien dans une comédie romantique et pas dans pseudo film drôle avec des gags poussifs. Une jolie surprise.

Note : ♥♥♥

Iggy Azalea – Sally Walker

La première chose qui me frappe, c’est le fait que dans beaucoup de scènes, on ne voit même pas Iggy. C’est plutôt rare dans les clips de rappeuses que l’artiste ne se mette pas en avant (ou alors c’est parce que mes références en la matière sont biaisées par la reine des attention whores). Iggy est fabuleuse avec ses cheveux bleus. J’aime le côté complètement décalé de la vidéo, c’est vraiment quelque chose qu’on ne peut voir que pour de faux, dans la vraie vie personne ne mélange enterrement et défilé de mode façon drag queen. Les passages chorégraphiés sont sympas aussi. Le clip et le morceau sont très courts donc on n’a de toute façon pas trop le temps de se lasser. Je trouve toutefois un peu étrange que les trente dernières secondes soient consacrées à teaser un autre son d’Iggy, mais pourquoi pas après tout.

Note : ♥♥♥

2 Chainz – Rule The World (ft. Ariana Grande)

La chanson n’est pas désagréable, mais ce n’est pas trop ma came non plus, je ne pense pas la réécouter, j’ai regardé le clip uniquement parce qu’il y en a un et qu’on y voit Ari dedans. Il ne se passe pas grand chose, on est vraiment sur une vidéo anecdotique, mais j’apprécie l’absence de vulgarité ou de violence, on est sur un registre plus « chill ». Même le simple fait que ce clip montre une énième fois des gens qui font la fête dans un club, ça passe parce que le club en question est, pour une fois, plutôt chic et classe. Par contre ça me gonfle un peu de voir Ariana Grande avec toujours la même coiffure. Je veux bien que ce soit son style signature, mais quand même…

Note :

Une dernière chose avant de partir

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Résumé : Silver est une ancienne gloire du rock de 44 ans, un homme divorcé et un mauvais père. Depuis sept ans, il voit sa vie minable passer à la fois vite et lentement. Jusqu’au moment où tout s’accélère : le même jour, sa fille de 18 ans lui annonce qu’elle est enceinte, et il fait une attaque. Suite à ses événements, les proches de Silver vont lui montrer à quel point il compte pour eux et s’inquiètent pour lui. Suffisamment pour estimer que la vie vaut la peine d’être vécue et se reprendre en main ?

Mon avis : On ne va pas se mentir, dans le fond, cette histoire est assez déprimante. Mais c’est raconté de façon à ne pas (trop) démoraliser le lecteur. J’ai trouvé qu’il y avait trop de passages descriptifs. Et puis franchement, le héros, sous bien des aspects, est assez détestable. On en viendrait presque à plaindre tous les autres personnages qui doivent le supporter. Mais c’est un roman qui se lit facilement, et qui peut aider à relativiser les petits tracas de sa propre vie.

Note : ♥♥

Le bonheur n’est pas interdit

 » Le bonheur est un pont entre deux souffrances. De la passerelle au viaduc. Je vais tenter de t’aider à dessiner et construire ces arches de secours.

Je te propose un petit voyage au pays du sourire et du bien-être. À partir de mes propres interrogations, de mes failles et de mes blessures, je vais tenter de t’aider à résorber les tiennes. De la même manière que je suis arrivé, à force d’application, à cautériser chacune de mes plaies intimes.

Alors, écoute la parole d’un sage encore turbulent. Un vieil artiste sans grande importance, au nez de clown et au cœur écarlates. Un homme enfant, surtout, qui n’a jamais lâché la main du gamin qu’il était.

Un survivant.  »

Dans ce livre très personnel, Patrick Sébastien nous confie les secrets qui lui ont permis de rester debout malgré toutes les épreuves. Un texte tendre, grave, drôle et poétique, qu’il a écrit pour partager une conviction profonde : quelle que soit sa situation, le bonheur n’est pas interdit. Une bouffée d’énergie et d’optimisme.

MON AVIS : Encore du Patrick Sébastien ! Et c’est pas fini, puisqu’il a sorti « Et si on était bienveillant ? » que je lirai bien entendu un jour. Je commence à connaître l’homme, malheureusement. Parce que même si j’ai adoré ma lecture, que je suis fan de sa façon d’écrire, je n’ai rien vu de nouveau. C’est une redite de tout ce qu’il a pu dire auparavant par rapport au bonheur. On sait déjà que pour lui, le bonheur passe par des choses simples. (On croirait entendre la pub Herta). Mais ça nous met une piqûre de rappel pour essayer de relativiser nos malheurs. On peut être heureux, il suffit de le vouloir et se battre pour ça. Après, c’est compliqué parce que la routine nous empêche de voir le positif. Lire du Patrick Sébastien, c’est avoir envie de profiter de la vie et d’être heureux sans se prendre la tête. Je suis assez d’accord sur le fait qu’il faut que l’enfance se passe en toute insouciance pour plus tard pouvoir aller se ressourcer dans les souvenirs heureux, pour aider à relativiser. Bref, soyez heureux. Lisez ce livre.

LE BONHEUR N’EST PAS INTERDIT :  ♥♥♥

Itsudatte My Santa

Quand j’étais au lycée, je lisais pas mal de mangas, car dans mon groupe d’amis, nous étions plusieurs à aimer cela et chacun achetait des séries différentes, ce qui fait que nous nous les prêtions mutuellement. Il m’arrivait aussi d’en emprunter à la bibliothèque. Mais c’est un hobby qui peut revenir cher si on choisit l’option achat, car beaucoup de titres possèdent un grand nombre de tomes, et quand on commence une série en cours de parution, on peut difficilement savoir à l’avance combien il y aura de numéros en tout. Pour cette raison, mais aussi par manque de place et parce que j’habite désormais loin de mes amis de lycée, j’ai arrêté de lire des mangas il y a déjà plusieurs années. Très récemment, et même si ça fait probablement un bail que cela existe, j’ai appris qu’il y avait des applis mobiles qui permettent de lire des scans de mangas (certes en anglais, mais cela ne me dérange pas). C’est donc avec joie que je vais en profiter pour relire les histoires de mon adolescence et découvrir de nouvelles aventures.

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Résumé : Santa est un jeune homme qui déteste Noël, jour de sa naissance et auquel il doit son prénom. A cause de cela, il n’a jamais eu de vraie fête d’anniversaire. Un 24 décembre, il rencontre une jeune fille nommée Mai qui prétend être la petite-fille du Père Noël et qui compte bien lui remonter le moral.

Mon avis : Je commence doucement avec un one-shot, comprenez par là un manga en un seul tome, et celui-ci en particulier est vraiment petit car il ne fait qu’une cinquantaine de pages. C’est un peu étrange de donner son avis sur une histoire aussi courte. Disons qu’on n’a pas vraiment le temps de détester ou d’adorer, c’est fini avant même qu’on ait pu s’attacher aux personnages, et le scénario est très simpliste. Je décrirais « Itsudatte My Santa » comme une sorte de conte de Noël à la sauce shōnen (manga qui s’adresse aux garçons adolescents) et pantsu (manga dans lequel on voit souvent les sous-vêtements des héroïnes). Cette oeuvre est très similaire à celles que le mangaka, Ken Akamatsu, proposait à cette époque-là (fin des années 1990-début des années 2000), mais j’aurai probablement l’occasion d’en reparler plus en détail quand j’écrirai sur les séries en question. Je pense qu’en raison de son format, « Itsudatte My Santa », qui signifie « Mon Père Noël à jamais », peut être un bon compromis pour quelqu’un qui ne connaîtrait pas l’univers des mangas et souhaiterait avoir un bref aperçu de ce style de bande dessinée.

Note : ♥♥♥

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Santa et Mai

Jain – Zanaka (+ EP)

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A dix jours du concert de Jain, je vais donc vous parler de son premier album, « Zanaka », qui pour info signifie « enfant » en malgache. Je vais en profiter pour faire d’une pierre deux coups et rajouter les trois chansons inédites de l’EP que l’artiste a sorti quelques mois après cet album, mais je n’écrirai pas sur les trois autres titres qui composent cet EP car il s’agit de remixes des tubes issus de « Zanaka ».

Come : On commence avec une chanson que tout le monde connaît, même si personnellement, je ne peux pas m’empêcher de penser aux pubs pour Renault quand le morceau démarre. Il faut dire que la mélodie est très accrocheuse. Je continue à l’écouter avec plaisir.

Note : ♥♥♥♥

Heads Up : Je préfère de loin les refrains aux couplets, je trouve que ces derniers brisent la dynamique du titre. J’aime bien les claps qui rythment le refrain.

Note : ♥♥

Mr Johnson : J’adore les sonorités de l’intro, qu’on retrouve de façon plus discrète ensuite, et la suite ne me déplaît pas non plus. Le refrain peut paraître un peu répétitif puisque toutes les phrases commencent par « Mr Johnson », en tout cas ça aide à rester en tête.

Note : ♥♥♥

Lil Mama : Une chanson sympa, mais pas ma favorite, je l’écouterais donc avec modération. Ma partie préférée est le refrain, je pense qu’on peut dire que Jain est vraiment douée pour en trouver des bons.

Note : ♥♥

Hope : Ce morceau est vraiment atypique, personnellement j’aime bien. C’est peut-être parce que maintenant, je me suis habituée à son accent si spécial, qui s’entend vraiment beaucoup sur les couplets de cette piste. Le refrain me donne envie de chanter.

Note : ♥♥♥

All My Days : Voilà une ballade. Au-delà du tempo lent qui n’est pas mon truc, je n’aime pas cette façon de chanter qui consiste à étirer inutilement les voyelles. Mettre près de huit secondes pour prononcer « All my days », c’est trop pour moi. Je m’ennuie et je zappe.

Note : Ø

Hob : Mélodie très sympa, mais chanson un peu passe-partout, quoique j’apprécie l’originalité de certains passages. Mais la fin est trop abrupte à mon sens.

Note : ♥♥

Makeba : Au risque de me répéter, qui ne connaît pas ce tube ? Le problème c’est que là aussi, on l’a trop entendue et surtout dans un contexte de pub. Maintenant, je pense systématiquement à Sosh quand passe le refrain. Indépendamment de cela, je trouve que ce n’était pas un choix de single forcément évident. Oui ça groove, ça reste en tête et c’est diablement efficace, mais l’intro est assez longue et on est quand même sur un son assez atypique. Et pourtant ça a marché (et ça marche toujours) du tonnerre. Pour moi c’est clairement le titre emblématique de  Jain.

Note : ♥♥♥♥

You Can Blame Me : J’aime bien la musique de l’intro et le refrain, mais c’est tout. C’est la piste de l’album dont j’ai le plus de mal à me souvenir, je la trouve loin d’être mémorable, bien que pas désagréable.

Note :

So Peaceful : L’album se termine avec une chanson que je n’aime pas trop. Elle sonne trop linéaire et monotone à mes oreilles. Par contre, je trouve la fin du morceau intéressante, et planante.

Note :

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Pochette de l’EP

City : On enchaîne directement avec la première piste de l’EP. Je la trouve très répétitive au niveau des paroles et assez anecdotique.

Note :

Son of a Sun : Le fond sonore de ce morceau est un peu répétitif (pour ne pas dire soulant) et de ce fait, on peut facilement ne pas apprécier. Mais bizarrement, j’aime bien ce titre. Bon, je ne l’écouterais pas en boucle mais il y a quelque chose dans la rythmique qui me plaît.

Note : ♥♥

Dynabeat : J’aime bien ce titre, à la fois punchy et frais. Là encore, je comprends bien le choix de single. C’est une des chansons de Jain dans laquelle on ressent le moins ses influences world, elle est moins dépaysante que la quasi totalité de sa discographie.

Note : ♥♥♥♥

A l’heure où j’écris cet article, j’ai une petite préférence pour « Souldier », même si je mets la même note aux deux albums, parce que j’ai eu l’impression d’arriver plus facilement à retenir les chansons de ce dernier par rapport à celles de « Zanaka », et à mon sens on a plus de facilité à fredonner les airs des morceaux qui nous plaisent que ceux des titres qu’on n’aime pas trop. Mais à l’écoute de ce disque, je comprends tout à fait le succès de Jain, elle propose vraiment quelque chose d’unique dans le paysage musical français, avec des visuels toujours impeccables. Je me sens fin prête pour son concert, l’attente ne sera plus très longue !

Note globale : ♥♥

Le salon d’Emilie

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Résumé : Emilie, jeune Bretonne, est la fille d’un marchand de vins qui, quelques années auparavant, partait régulièrement à Paris pour vendre sa marchandise. A sa mort, Emilie se voit obligée de monter à son tour à la capitale afin de rentrer au service de Mme de La Tour, en tant que gouvernante de ses deux plus jeunes enfants. Avec ce poste qu’elle a pu obtenir grâce aux anciennes relations commerciales de son père, Emilie découvre un monde qui va la fasciner : celui des Précieuses. Avec son goût pour la lecture hérité de son père et son propre talent pour l’écriture, la jeune femme compte bien tout mettre en oeuvre pour entrer dans ce cercle très fermé. Mais dans cette société contaminée par la Fronde, le moindre faux pas pourrait lui être fatal…

Mon avis : J’ai adoré ce roman qui fait directement voyager le lecteur au XVIIème siècle. En soi, il n’y a rien d’exceptionnellement original, on suit les péripéties d’une fille du peuple qui tente de s’élever socialement à une époque (bien que ce sujet n’appartienne pas nécessairement au passé) où les bien-nés ne se mélangent pas avec le petit peuple qu’ils méprisent . On assiste à ses échecs et à ses petites réussites, sa vie est jalonnée de joies et de peines, dont certaines sont directement influencées par le contexte historique. L’évolution de la Fronde et ses multiples épisodes sont peut-être l’aspect qui m’a un peu moins plu lors de ma lecture, non pas parce que je n’ai pas trouvé cela intéressant, mais plutôt parce qu’il est un peu difficile de s’y retrouver. D’autant plus que beaucoup de personnages sont désignés sous plusieurs noms différents : leur prénom, leur titre, leur surnom… J’ai apprécié le mélange entre fiction et éléments historiques réels. J’ai également appris des choses, et je suis contente d’en savoir un peu plus sur les fameuses Précieuses. Une chose est sûre, les rumeurs et le fait de cancaner sur ses amis sous couvert d’anonymat ne sont pas réservés au XXIème siècle et à Gossip Girl…

Note : ♥♥♥♥

Paris est à nous

Quatrième de couverture : « J’ai l’impression d’être tombée amoureuse d’une ville tout entière. »

Ils ont le coup de foudre détour d’une rue, ils s’aiment mais ne s’entendent plus, ils retrouvent leur amour de jeunesse, des années plus tard, au hasard d’une fête, ils célèbrent leur anniversaire de mariage, ils se lancent dans des liaisons extra-conjugales, ils découvrent sans le vouloir les secrets de ceux qu’ils croisent, le temps d’un voyage.
Jojo Moyes raconte avec délicatesse le fabuleux destin de ces inconnus qui nous ressemblent. Des tranches de vie fourmillant d’émotions dans la ville des amoureux.
Un recueil irrésistiblement romantique dans lequel Moyes fait rimer humour avec amour !

MON AVIS  : Quelle déception ! J’ai tellement eu de facilité à rentrer dans le livre, à accrocher avec « Paris Actually », que la déception a été d’autant plus grande quand je suis passée à une autre nouvelle et qu’elle m’a fait l’effet d’une douche froide.

Paris Actually : Dès les premières lignes j’ai été entrainée dans l’histoire. C’est la nouvelle la plus longue du recueil. Mais clairement, elle aurait dû abandonner tout le reste et en faire un roman plus long. ♥♥♥♥

Entre deux tweets : J’ai eu l’impression d’une histoire sans début et sans fin. Je n’ai malheureusement pas accroché. Ø

L’amour l’après-midi : Strictement aucun intérêt. Ø

Un oiseau dans la main : L’idée est bonne. Mais ce fût trop court pour donner un quelconque intérêt à l’histoire. ♥

Des escarpins en croco : Ah, enfin une nouvelle que j’ai adoré. Un début, une fin, une sorte de morale à l’histoire. Pas la peine d’en dire plus mais lire cette histoire m’a apporté quelque chose. J’ai bien apprécié, le format était le bon. Parfait. ♥♥♥♥

Haut les mains ! : Complétement improbable, mais drôlissime. On passe un très bon moment à lire cette petite nouvelle. ♥♥♥

Lune de miel à Paris : Très bonne histoire. J’ai aimé le fait qu’il y ait deux époques et un lien entre les deux. ♥♥♥

Le manteau de vos rêves : Très court mais touchant. ♥♥

Treize jours sans John C : Encore une fois, du papier gâché pour rien. On a un concept d’histoires mais sans intérêt parce que je n’y vois pas de fin, ou en tout cas, une fin qui fait que tout ce que j’ai lu avant m’a semblé de la perte de temps. Ø

Margot : Assez mitigée sur cette nouvelle. L’idée est sympa mais je trouve que c’était trop court. J’ai l’impression que tout s’est passé en un coup de vent. ♥♥

La liste de Noël : Super sympa. J’ai bien apprécié cette nouvelle qui nous indique pour terminer ce recueil qu’il faut un peu suivre ses envies et se débarrasser de ses contraintes. N’est-ce pas ce que l’on cherche au cours de nos lectures ? ♥♥♥♥

En conclusion, je dirais que j’ai l’impression que Jojo Moyes a souhaité nous faire part de toutes les idées qu’elle avait d’intéressantes pour commencer une histoire mais sans avoir l’imagination nécessaire pour en faire des romans à part entière. C’est dommage car certains thèmes auraient mérité plus d’approfondissement et d’autres auraient gagné en intérêt. En écrivant cet article, j’ai découvert qu’il y avait un film du même nom qui était sorti sur Netflix avec la sublime Noémie Schmidt mais en réalité, l’histoire est totalement différente. Mais du coup, j’ai envie de le voir.

PARIS EST A NOUS : ♥♥

Shy’m – Puerto Rico (feat. Vegedream)

Les paroles du refrain… Shy’m m’a tuée. Cette chanson est aussi entraînante que drôle. Certains la trouveront carrément ridicule, pour ma part, si c’est ce qui m’a effleurée lors des premières secondes, je dois bien reconnaître que l’ensemble a quelque chose de très addictif et festif qui m’a fait changer d’avis. Niveau clip, j’aime ce que je vois : une Shy’m sublime dans différentes tenues aussi originales que sexy. On aurait clairement pu se passer du rappeur. Je trouve que définitivement, c’est en brune que la chanteuse est la plus canon. On sent une volonté de proposer un son et un visuel dans l’air du temps. J’aimerais croire que l’artiste tient là un tube de l’été mais seul l’avenir nous le dira. J’espère juste que pour elle, ce ne sera pas la fin des harrricots ^^

Note : ♥♥♥